Responsable évènementiel Illustrations-Club de la presse- Messak13

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Responsable événementiel

Pilote de l’organisation et de la médiatisation d’un événement
Chef de projet spécialisé, il ou elle fait de tout évènement une opération de communication.

Qui est-ce ?

C’est la personne « responsable de l’organisation des événements » dans une entreprise, une association, une institution… Dans les moindres détails, il veille à tout, y compris à la communication pour le succès de l’opération.

Quel est son rôle ?

C’est un organisateur de temps forts, comparable à un pilote de rallye ou un navigateur en haute mer. Il doit en effet : gagner une course contre la montre, anticiper, négocier et tenir jusqu’au bout ! Il a en charge l’organisation d’inaugurations, anniversaires, journées professionnelles, rencontres publiques, salons d’affaires… soirée privée et parfois mêmes concert pour un auditoire de quelques personnes ou bien plus. Le cahier des charges et les objectifs de communication (interne et externe) varient selon le secteur d’activités et la « culture » de l’entreprise.

Responsable de la stratégie, du budget, de la logistique et des accords partenariaux pour la réussite du projet, il conduit ainsi des opérations plus ou moins « médiatiques » (c’est-à-dire annoncées et relayées via un ou plusieurs média). Et quand un événement s’achève, son rôle est aussi d’en évaluer les retombées.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Quelle que soit l’entreprise ou l’agence qui l’emploie, il s’entend avec le responsable de la communication sur le plan de communication (de l’événement) qui sera réalisé par l’entreprise ou confié à l’agence dont tous les métiers sont utiles. Pour la promotion d’événements d’importance, un(e) attaché(e) de presse lui est généralement indispensable.

Responsable événementiel·le

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Pilote de l’organisation et de la médiatisation d’un événement
Chef·fe de projet spécialisé·e, il ou elle fait de tout évènement événement une opération de communication.

Qui est-ce ?

C’est la personne « responsable de l’organisation des événements » dans une entreprise, une association, une institution… Dans les moindres détails, il ou elle veille à tout, y compris à la communication pour le succès de l’opération.

Quel est son rôle ?

C’est un·e organisateur·rice de temps forts, comparable à un·e pilote de rallye ou un·e navigateur·rice en haute mer. Il ou elle doit en effet : gagner une course contre la montre, anticiper, négocier et tenir jusqu’au bout ! Il ou elle a en charge l’organisation d’inaugurations, anniversaires, journées professionnelles, rencontres publiques, salons d’affaires… soirées privées et parfois mêmes concerts pour un auditoire de quelques personnes ou bien plus[EA17] . Le cahier des charges et les objectifs de communication (interne et externe) varient selon le secteur d’activités et la « culture » de l’entreprise.

Responsable de la stratégie, du budget, de la logistique et des accords partenariaux pour la réussite du projet, il ou elle conduit ainsi des opérations plus ou moins « médiatiques » (c’est-à-dire annoncées et relayées via un ou plusieurs média(s)). Et quand un événement s’achève, son rôle est aussi d’en évaluer les retombées.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Quelle que soit l’entreprise ou l’agence qui l’emploie, il ou elle s’entend avec le ou la responsable de la communication sur le plan de communication (de l’événement) qui sera réalisé par l’entreprise ou confié à l’agence dont tous les métiers sont utiles. Pour la promotion d’événements d’importance, un·e attaché·e de presse lui est généralement indispensable.

Le Responsable événementiel travaille avec

Attaché de presse

Chef de projet

Responsable communication

Photographe
Vidéaste

Infographiste

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CRÉDITS KIT PÉDAGOGIQUE DU CLUB DE LA PRESSE 30
Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

Illustration : © Messak

Webdesigner

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Artisan de la conception graphique des supports en ligne
Styliste web, il ou elle crée des maquettes incluant des animations.

Qui est-ce ?

Partenaire du webmaster pour la conception visuelle des sites, le webdesigner est bien plus qu’un infographiste C’est l’assistant du « directeur artistique », ou son égal s’il est « web art director » (directeur artistique web). Il est spécialisé dans la communication graphique digitale. Responsable du design, il sert l’image des marques en participant à la création de messages et d’animations visibles sur le web, les réseaux sociaux et certaines applications.

Quel est son rôle ?

À partir du brief ou, plus précisément, en fonction de la stratégie digitale et du parti-pris créatif décidé, il élabore des maquettes aux contenus « dynamiques », c’est-à-dire composés de dessins, de photos, de textes tantôt statiques, tantôt « animés ». Comme pour toute conception visuelle, ce travail débute par l’étude de différentes pistes créatives, passe par l’étape de la création d’une maquette et s’achève par la transformation de cette maquette dans différents formats. Le webmaster essaye de faire en sorte que l’espace numérique visité soit attractif, facile à comprendre et qu’on puisse s’y repérer facilement.

Avant chaque mise en ligne ou lancement d’application, le webdesigner signale les erreurs au webmaster qui les corrige.

Parmi ses tâches, comme tout créatif du web, le webdesigner essaye de regarder ce qui se fait sur d’autres sites webs et sur d’autres applications. Il lit, il se documente : on dit qu’il fait de la “veille”.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Salarié d’une agence web ou indépendant, le webdesigner est généralement dirigé par un chef de projet et travaille en lien avec le webmaster, l’infographiste et le responsable des textes (soit le client, le concepteur-rédacteur ou le rédacteur web).

Webdesigner

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Artisan·e de la conception graphique des supports en ligne
Styliste web, il ou elle crée des maquettes incluant des animations.

Qui est-ce ?

Partenaire du webmaster pour la conception visuelle des sites, le ou la webdesigner est bien plus qu’un·e infographiste C’est l’assistant·e du ou de la « directeur·rice artistique », ou son égal si il ou elle est « web art director » (directeur·rice artistique web). Il ou elle est spécialisé·e dans la communication graphique digitale. Responsable du design, il ou elle sert l’image des marques en participant à la création de messages et d’animations visibles sur le web, les réseaux sociaux et certaines applications.

Quel est son rôle ?

À partir du brief ou, plus précisément, en fonction de la stratégie digitale et du parti-pris créatif décidé, il ou elle élabore des maquettes aux contenus « dynamiques », c’est-à-dire composés de dessins, de photos, de textes tantôt statiques, tantôt « animés ». Comme pour toute conception visuelle, ce travail débute par l’étude de différentes pistes créatives, passe par l’étape de la création d’une maquette et s’achève par la transformation de cette maquette dans différents formats. Le ou la webmaster essaie de faire en sorte que l’espace numérique visité soit attractif, facile à comprendre et qu’on puisse s’y repérer facilement.

Avant chaque mise en ligne ou lancement d’application, le ou la webdesigner signale les erreurs au webmaster qui les corrige.

Parmi ses tâches, comme tout·e créatif·ve du web, le ou la webdesigner essaie de regarder ce qui se fait sur d’autres sites webs et sur d’autres applications. Il ou elle lit, se documente : on dit qu’il·elle fait de la “veille”.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Salarié·e d’une agence web ou indépendant·e, le ou la webdesigner est généralement dirigé·e par un·e chef·fe de projet et travaille en lien avec la ou le webmaster, l’infographiste et le ou la responsable des textes (client·e, concepteur·rice-rédacteur·rice ou rédacteur·rice web).

Le Webdesigner travaille avec

Infographiste

Chef de projet

Photographe
Vidéaste

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mcom9-Photographe - vidéaste Illustrations-Club de la presse- Messak10

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Photographe-Vidéaste

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Capteur d’instants
Photographe et réalisateur vidéo, il ou elle communique par l’image «une vision»

Qui est-ce ?

Avec son appareil photo-vidéo et quelques logiciels, voire même avec un smartphone, il (ou elle) réalise des prises de vues, captations et films. On l’aime pour son côté artiste, mais c’est aussi un technicien de l’optique et du son. Alors quand ses références correspondent à la direction souhaitée pour un projet visuel ou audiovisuel, à lui (ou elle) d’apporter le bon angle de vue. Avec une bonne technique mais surtout un style, une façon particulière de voir et de retranscrire le monde

Quel est son rôle ?

En tant que photographe, les communicants le sollicitent pour la qualité de ses prises de vues, dont le cadrage et le traitement esthétique particulier peuvent mettre en lumière un objet, un produit de consommation, une ou plusieurs personnes en situation, un lieu, un environnement, un évènement…

En tant que réalisateur de clips, films ou documentaires, le principal défi est le même qu’en photo : capter l’instant, pour « restituer ou sublimer » une réalité ou une fiction. À cela s’ajoute l’art de la mise en scène, établie en fonction d’un scénario et/ou story-board. En fonction de ces contraintes et du budget, il faut choisir des acteurs (casting), sélectionner les décors, matériels et éclairages, effectuer les repérages et essais. Vient enfin le tournage, suivi du visionnage puis du montage. La maquette est alors finalisée, en vue de l’accord pour PAD – Prêt À Diffuser. Ultime étape : l’encodage, pour la diffusion, au bon format, sur Internet, la télé, en DVD ou au cinéma !

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Indépendant, le photographe-vidéaste peut travailler au service d’un annonceur (représenté par un responsable de communication) ou pour des agences conseils et studios spécialisés. Dans ce cas, sous la supervision d’un chef de projet, il collabore avec le directeur artistique et les créatifs associés au projet : le concepteur-rédacteur, l’infographiste, l’illustrateur…

Photographe-Vidéaste

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Créateur de messages et artisan des discours
En duo avec le directeur artistique, il ou elle façonne des idées et des écrits qui font sens.

Qui est-ce ?

Avec son appareil photo-vidéo et quelques logiciels, voire même avec un smartphone, il ou elle réalise des prises de vues, captations et films. On l’aime pour son côté artiste, mais c’est aussi un·e technicien·ne de l’optique et du son. Alors quand ses références correspondent à la direction souhaitée pour un projet visuel ou audiovisuel, à lui ou elle d’apporter le bon angle de vue. Avec une bonne technique mais surtout un style, une façon particulière de voir et de retranscrire le monde.

Quel est son rôle ?

En tant que photographe, les communicant·e·s le ou la sollicitent pour la qualité de ses prises de vues, dont le cadrage et le traitement esthétique particulier peuvent mettre en lumière un objet, un produit de consommation, une ou plusieurs personnes en situation, un lieu, un environnement, un évènement…

En tant [EA11] que réalisateur·rice de clips, films ou documentaires, le principal défi est le même qu’en photo [ab12] : capter l’instant, pour « restituer ou sublimer » une réalité ou une fiction. À cela s’ajoute l’art de la mise en scène, établie en fonction d’un scénario et/ou story-board. En fonction de ces contraintes et du budget, il faut choisir des acteur·rice·s (casting), sélectionner les décors, matériels et éclairages, effectuer les repérages et essais. Vient enfin le tournage, suivi du visionnage puis du montage. La maquette est alors finalisée, en vue de l’accord pour PAD – Prêt À Diffuser. Ultime étape : l’encodage, pour la diffusion, au bon format, sur Internet, la télé, en DVD ou au cinéma !

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Indépendant·e, le ou la photographe-vidéaste peut travailler au service d’un annonceur [ab13] (représenté par un·e responsable de communication) ou pour des agences conseils et studios spécialisés. Dans ce cas, sous la supervision d’un·e chef·fe de projet, il ou elle collabore avec le ou la directeur·rice artistique et les créatif·ve·s associé·e·s au projet : le ou la concepteur·rice-rédacteur·rice, l’infographiste, l’illustrateur·rice…

Le Photographe-Vidéaste travaille avec

Directeur artistique

Concepteur-rédacteur

Illustrateur

Infographiste

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mcom11-Responsable communication Illustrations-Club de la presse- Messak12

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Responsable communication

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Il dirige la communication d’une entreprise ou institution.
Il adresse le bon message à la bonne cible en choisissant le bon support

Qui est-ce ?

C’est l’employé d’une entreprise, d’une association ou d’une institution ; quelqu’un qui connait bien son sujet, qui sait ce qu’il faut dire, comment le dire, à qui il faut le dire et à quel moment.

Quel est son rôle ?

Il élabore, budgétise, planifie et met en application une stratégie globale de communication en tenant compte de l’ensemble des publics à qui son “entreprise” doit s’adresser. Il est parfois totalement seul pour cela… ou à la tête d’un service de plusieurs dizaines de personnes à coordonner. C’est un peu « le boss » et bien souvent « l’arbitre » !

Pour la « com’ interne » (c’est à dire ne s’adressant qu’aux salariés de l’entreprise), il est devenu courant de communiquer par lettre d’info, journaux ou magazines… publiables en version papier, mais aussi électronique, sur l’espace dédié du site internet ou intranet.

Pour la « com’ externe » (vers les utilisateurs, consommateurs ou usagers extérieurs à l’entreprise) la réalisation de campagnes peut être confiée à une agence spécialisée ou bien faite en interne.

Une stratégie de communication consiste, à partir d’un objectif stratégique tel que acquérir de la notoriété, améliorer son image, augmenter son trafic de clients ou d’usagers, faire changer de comportement, etc. à décider d’un message (par exemple “meilleurs tous les jours à vos côtés” “Venez comme vous êtes” pour Mac Do ou “Just Do It” pour Nike), d’une cible (les jeunes, les seniors, les personnes qui aiment la montagne et le sport) des supports (des pubs télé, un site internet, une vidéo, une newsletter, etc.) d’un planning (avant Noël, après la rentrée, avant un salon important)… Bref, il s’agit d’orchestrer tous les éléments d’une communication pour faire connaître et comprendre son entreprise, son produit ou son service.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Selon la taille de la structure qui l’emploie, son propre service peut intégrer des infographistes, des photographes, des vidéastes et plusieurs métiers du web. Dans certains cas, il (ou elle) peut être amené à travailler avec un responsable des relations publiques, un responsable événementiel, attaché de presse… ou un directeur d’agence et son directeur de clientèle.

Responsable de communication

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Il ou elle dirige la communication d’une entreprise ou institution.
Il ou elle adresse le bon message à la bonne cible en choisissant le bon support.

Qui est-ce ?

C’est l’employé·e d’une entreprise, d’une association ou d’une institution ; quelqu’un qui connait bien son sujet, qui sait ce qu’il faut dire, comment le dire, à qui il faut le dire et à quel moment.

Quel est son rôle ?

Il ou elle élabore, budgétise, planifie et met en application une stratégie globale de communication en tenant compte de l’ensemble des publics à qui son “entreprise” doit s’adresser. Il ou elle est parfois totalement seul·e pour cela… ou à la tête d’un service de plusieurs dizaines de personnes à coordonner. C’est un peu « le ou la boss » et bien souvent « l’arbitre » !

Pour la « com’ interne » (c’est à dire ne s’adressant qu’aux salarié·e·s de l’entreprise), il est devenu courant de communiquer par lettre d’info, journaux ou magazines… publiables en version papier, mais aussi électronique, sur l’espace dédié du site internet ou intranet.

Pour la « com’ externe » (vers les utilisateurs·rice·s, consommateurs·rice·s ou usager·e·s extérieurs à l’entreprise) la réalisation de campagnes peut être confiée à une agence spécialisée ou bien faite en interne.

Une stratégie de communication consiste, à partir d’un objectif stratégique tel que acquérir de la notoriété, améliorer son image, augmenter son trafic de clients ou d’usagers, faire changer de comportement, etc. à décider d’un message (par exemple “meilleurs tous les jours à vos côtés” “Venez comme vous êtes” pour Mac Do ou “Just Do It” pour Nike), d’une cible (les jeunes, les seniors, les personnes qui aiment la montagne et le sport) des supports (des pubs télé, un site internet, une vidéo, une newsletter, etc.) d’un planning (avant Noël, après la rentrée, avant un salon important)… Bref, il s’agit d’orchestrer tous les éléments d’une communication pour faire connaître et comprendre son entreprise, son produit ou son service.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Selon la taille de la structure qui l’emploie, son propre service peut intégrer des infographistes, des photographes, des vidéastes et plusieurs métiers du web. Dans certains cas, il ou elle peut être amené·e à travailler avec un·e responsable des relations publiques, un·e responsable événementiel, un·e attaché·e de presse… ou un·e directeur·rice d’agence et son ou sa directeur·rice de clientèle.

Le Responsable de la communication travaille avec

Attaché de presse

Chef de projet

Responsable événementiel

Photographe
Vidéaste

Infographiste

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CRÉDITS KIT PÉDAGOGIQUE DU CLUB DE LA PRESSE 30
Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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mcom10-Rédacteur web Illustrations-Club de la presse- Messak11

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Rédacteur web

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Spécialiste de l’écriture de contenus pour internet
Rédacteur certifié, il ou elle rédige des contenus devant être lus d’abord par… des robots !

Qui est-ce ?

C’est un rédacteur formé aux contraintes de lecture et de référencement des sites internet : quelqu’un qui sait écrire des textes informatifs ou persuasifs, avec peu de mots, mais des mots bien choisis pour être bien classés sur les moteurs de recherches.

Quel est son rôle ?

Le travail d’un rédacteur web ressemble à celui d’un concepteur-rédacteur mais ce sont bien deux métiers différents. Le « rédacteur web » n’intervient pas dans la stratégie créative en proposant des concepts. Sa spécialité, , c’est d’écrire des contenus répondant à une stratégie d’optimisation pour les moteurs de recherche. Les experts en marketing résument ça en trois lettres : SEO ou stratégie SEO, pour « Search Engine Optimisation », « optimisation pour les moteurs de recherche ». Cette technique, quand elle est maîtrisée, permet à une entreprise de voir son site Web, apparaître tout en haut de la liste des résultats des moteurs de recherche.

Cependant, en tant que rédacteur, effectivement, il écrit, réécrit, corrige et améliore des accroches, titres, intertitres et une multitude de textes dont, la plupart, des descriptifs de présentation et des argumentaires autour d’une offre de service ou de produit sur le site web le plus souvent.

Autre précision utile : sauf exception, il ne dialogue pas en direct avec les membres d’une communauté ou les utilisateurs d’une marque, c’est le rôle du community manager.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le rédacteur web contribue au montage et à la réactualisation de contenus en ligne, en entrant ses textes et en les modifiant dès que besoin dans l’interface d’administration du site géré par le webmaster. S’il est salarié d’une entreprise ou indépendant, il travaille sous la direction du responsable de communication. Dans une agence conseil (généraliste ou spécialisée), il est encadré par un chef de projet.

Rédacteur·rice web

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Spécialiste de l’écriture de contenus pour internet
Rédacteur·rice certifié·e, il ou elle rédige des contenus devant être lus d’abord par… des robots !

Qui est-ce ?

C’est un·e rédacteur·rice formé·e aux contraintes de lecture et de référencement des sites internet : quelqu’un qui sait écrire des textes informatifs ou persuasifs, avec peu de mots, mais des mots bien choisis pour être bien classés sur les moteurs de recherches.

Quel est son rôle ?

Le travail d’un·e rédacteur·rice web ressemble à celui d’un·e concepteur·rice-rédacteur·rice mais ce sont bien deux métiers différents. Le ou la rédacteur·rice web n’intervient pas dans la stratégie créative en proposant des concepts. Sa spécialité, c’est d’écrire des contenus répondant à une stratégie d’optimisation pour les moteurs de recherche. Les expert·e·s en marketing résument ça en trois lettres : SEO ou stratégie SEO, pour « Search Engine Optimisation », « optimisation pour les moteurs de recherche ». Cette technique, quand elle est maîtrisée, permet à une entreprise de voir son site web apparaître tout en haut de la liste des résultats des moteurs de recherche.

Cependant, en tant que rédacteur·rice, effectivement, il ou elle écrit, réécrit, corrige et améliore des accroches, titres, intertitres et une multitude de textes dont, la plupart, des descriptifs de présentation et des argumentaires autour d’une offre de service ou de produit sur le site web le plus souvent.

Autre précision utile : sauf exception, il ou elle ne dialogue pas en direct avec les membres d’une communauté ou les utilisateurs d’une marque, c’est le rôle du ou de la community manager·euse.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le ou la rédacteur·rice web contribue au montage et à la réactualisation de contenus en ligne, en entrant ses textes et en les modifiant dès que besoin dans l’interface d’administration du site géré par le webmaster. S’il ou elle est salarié·e d’une entreprise ou indépendant·e, il ou elle travaille sous la direction du ou de la responsable de communication. Dans une agence conseil (généraliste ou spécialisée), il ou elle est encadré·e par un·e chef·fe de projet.

Le Rédacteur web travaille avec

Responsable communication

Chef de projet

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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mcom4-Concepteur Redacteur Illustrations-Club de la presse- Messak5

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Type d'écriture

Concepteur-rédacteur

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Compositeur de l’écrit, pour toute forme de communication
Avec le directeur artistique, il ou elle propose des idées et des écrits qui font sens

Qui est-ce ?

Il a l’art de la formule, beaucoup d’imagination et, si possible, de la perspicacité… Certes, sa spécialité, c’est d’écrire, des messages – cependant, ce n’est ni un littéraire, ni un stratège en marketing. C’est un créatif, apprécié pour sa culture générale, ses connaissances en communication et son aisance à comprendre différents points de vue – ce qui l’aide à penser autrement et s’exprimer différemment au nom d’une marque ou d’une cause, pour un annonceur.

Quel est son rôle ?

Le concepteur-rédacteur ou la conceptrice-rédactrice fait plus que de la rédaction. Il formule aussi des concepts de communication, c’est-à-dire des associations d’idées (visuelles et/ou verbales) proposées avec une phrase facile à mémoriser : « l’accroche » (autrefois appelée slogan) et qui permet d’ouvrir l’imaginaire.

En fonction du cahier des charges, sa mission varie : inventer une campagne d’affichage et ses déclinaisons presse, imaginer l’histoire d’un film publicitaire visible à la télévision ou sur internet, créer des noms de marques et leur phrase de signature (aussi appelée baseline) …

Très souvent, on lui demande aussi des principes de présentation, titrés et détaillés, comme le chemin de fer d’une plaquette ou l’architecture de contenus d’un site web ou d’une application. Sa mission ensuite : rédiger le discours de communication ou l’adapter selon le support, en écrivant les titres et textes d’une publication, par exemple, ou les dialogues et voix-off d’un spot radio.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le « CR » travaille en agence conseil au côté du directeur artistique, sous la responsabilité d’un chef de projet (et sous l’arbitrage d’un directeur de création dans les grandes agences).

Concepteur·rice-rédacteur·rice

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Compositeur·rice de l’écrit, pour toute forme de communication
Avec le ou la directeur·rice artistique, il ou elle propose des idées et des écrits qui font sens.

Qui est-ce ?

Il ou elle a l’art de la formule, beaucoup d’imagination et, si possible, de la perspicacité… Certes, sa spécialité, c’est d’écrire, des messages – cependant, ce n’est ni un·e littéraire, ni un·e stratège en marketing. C’est un·e créatif·ve, apprécié·e pour sa culture générale, ses connaissances en communication et son aisance à comprendre différents points de vue – ce qui l’aide à penser autrement et s’exprimer différemment au nom d’une marque ou d’une cause, pour un annonceur .

Quel est son rôle ?

Le ou la concepteur·rice-rédacteur·rice fait plus que de la rédaction. Il ou elle formule aussi des concepts de communication, c’est-à-dire des associations d’idées (visuelles et/ou verbales) proposées avec une phrase facile à mémoriser : « l’accroche » (autrefois appelée slogan) et qui permet d’ouvrir l’imaginaire.

En fonction du cahier des charges, sa mission varie : : inventer une campagne d’affichage et ses déclinaisons presse, imaginer l’histoire d’un film publicitaire visible à la télévision ou sur internet, créer des noms de marques et leur phrase de signature (aussi appelée baseline)…

Très souvent, on lui demande aussi des principes de présentation, titrés et détaillés, comme le chemin de fer d’une plaquette ou l’architecture de contenus d’un site web ou d’une application. Sa mission ensuite : rédiger le discours de communication ou l’adapter selon le support, en écrivant les titres et textes d’une publication, par exemple, ou les dialogues et voix-off d’un spot radio.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le ou la « CR » travaille en agence conseil au côté du ou de la directeur·rice artistique, sous la responsabilité d’un·e chef·fe de projet (et sous l’arbitrage d’un·e directeur·rice de création dans les grandes agences).

Le Concepteur-rédacteur travaille avec

Directeur artistique

Chef de projet

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

mcom5-Directeur artistique Illustrations-Club de la presse- Messak

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Directeur artistique

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Compositeur des visuels et chef d’orchestre de l’équipe créative
Il ou elle décide le style graphique et pilote tous les travaux d’exécution.

Qui est-ce ?

Des directeurs artistiques, il y en a dans l’édition, la mode, la musique, le cinéma, les jeux vidéo… Chacun influence l’image de la maison qu’il représente en produisant une œuvre ou une collection de produits.

Dans le monde de la communication, c’est un peu différent. C’est un créatif responsable d’équipe, à qui sont confiées l’image des marques ainsi que la supervision de toute réalisation. Il a une vision précise des projets, beaucoup d’imagination, souvent une personnalité affirmée et des goûts très marqués. Les entreprises font appel à lui parce qu’il a un “style” et une manière unique de créer.

Quel est son rôle ?

De la conception de la maquette au suivi de production, le D.A. sait mettre en forme et donner vie à tout type de projet print, web ou vidéo.

Selon le brief, il crée par exemple, des logos et leur charte graphique, ou conçoit l’aspect visuel de campagnes de communication et leurs déclinaisons (affiches, annonces presse, brochures…). Touche-à-tout, il va concevoir l’emballage d’un produit, l’allure d’un objet publicitaire, les éléments d’un stand sur un salon ou l’habillage d’un site internet.

Avec une logique visuelle propre à chaque marque, le D.A. peut travailler également sur des principes de présentation audiovisuelle en vue de tournages et montages qu’il suivra si besoin dans les moindres détails. Parfois, il gère même l’identité sonore des marques, en dirigeant la réalisation de messages parlés et les choix musicaux.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Traditionnellement salarié d’une agence conseil, guidé par un chef de projet et aidé d’un concepteur-rédacteur, le D.A. coordonne l’infographiste, l’illustrateur, le photographe–vidéaste… Il les suit tous, voit même l’imprimeur et le client si nécessaire, et peut donc devenir, à terme, directeur de création ou directeur d’agence.

Directeur·rice artistique

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Compositeur·rice des visuels et chef·fe d’orchestre de l’équipe créative
Il ou elle décide le style graphique et pilote tous les travaux d’exécution.

Qui est-ce ?

Des directeur·rice·s artistiques, il y en a dans l’édition, la mode, la musique, le cinéma, les jeux vidéo… Chacun·e influence l’image de la maison qu’il ou elle représente en produisant une œuvre ou une collection de produits.

Dans le monde de la communication, c’est un peu différent. C’est un·e créatif·ve responsable d’équipe, à qui sont confiées l’image des marques ainsi que la supervision de toute réalisation. Il ou elle a une vision précise des projets, beaucoup d’imagination, souvent une personnalité affirmée et des goûts très marqués. Les entreprises font appel à lui·elle parce qu’il·elle a un “style” et une manière unique de créer.

Quel est son rôle ?

De la conception de la maquette au suivi de production, le ou la D.A. sait mettre en forme et donner vie à tout type de projet print, web ou vidéo.

Selon le brief, il ou elle crée, par exemple, des logos et leur charte graphique, ou conçoit l’aspect visuel de campagnes de communication et leurs déclinaisons (affiches, annonces presse, brochures…). Touche-à-tout, il ou elle va concevoir l’emballage d’un produit, l’allure d’un objet publicitaire, les éléments d’un stand sur un salon ou l’habillage d’un site internet.

Avec une logique visuelle propre à chaque marque, le ou la D.A. peut travailler également sur des principes de présentation audiovisuelle en vue de tournages et montages qu’il·elle suivra si besoin dans les moindres détails. Parfois, il ou elle gère même l’identité sonore des marques, en dirigeant la réalisation de messages parlés et les choix musicaux.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Traditionnellement salarié·e d’une agence conseil, guidé·e par un·e chef·fe de projet et aidé.e d’un·e concepteur·rice-rédacteur·rice, le ou la D.A. coordonne l’infographiste, l’illustrateur·rice, le ou la photographe–vidéaste… Il ou elle les suit tous, voit même l’imprimeur et le ou la client·e si nécessaire, et peut donc devenir, à terme, directeur·rice de création ou directeur·rice d’agence.

Le Directeur artistique travaille avec

Chef de projet

Concepteur-rédacteur

Illustrateur

Infographiste

Photographe
Vidéaste

Webdesigner

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CRÉDITS KIT PÉDAGOGIQUE DU CLUB DE LA PRESSE 30
Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

mcom8-Infographiste Illustrations-Club de la presse- Messak2

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Infographiste

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Graphiste du numérique, responsable des maquettes
Graphiste exécutant, il est spécialiste de la mise en page numérique.

Qui est-ce ?

C’est un ou une spécialiste en PAO (Publication Assistée par Ordinateur). Il est également appelée maquettiste, c’est-à-dire celui ou celle qui fait les maquettes d’un projet de publicité ou de communication visuelle. C’est un créatif, qui réalise des travaux graphiques. Et c’est aussi un technicien qui, avec ses logiciels, assemble des contenus et livre des fichiers.

Quel est son rôle ?

Il fait de l’infographie, des mises en page, autrement dit des compositions visuelles associant des titres, textes, photos, dessins… pour des publications destinées à être imprimées ou diffusées sur internet. Son rôle est aussi de faire les retouches photos, enlever le fond et ne garder que les contours, intégrer le texte et bien évidemment faire des corrections. Le but étant que tout reste bien lisible et visuellement attractif.

En complément, l’infographiste doit savoir créer des images en 2D ou 3D,. Cela peut être, par exemple, des icônes pour une communication informative, des émojis ou des graphiques qui permettent de mieux comprendre une situation ou une information, comme dans un manuel scolaire ou un magazine d’actualité par exemple.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Indépendant ou salarié, l’infographiste travaille pour des agences conseil, des studios spécialisés ou pour des services communication. Le directeur artistique, ou le responsable de la com lui donne le cap à suivre et lui confie l’exécution d’un projet, à réaliser dans un temps imparti et le respect d’un brief, qui donne toutes les consignes et les contraintes. Lorsque la maquette est validée, il réalise le document final et livre (après signature du B.A.T “bon à tirer” ou P.A.D “prêt à diffuser”) les fichiers à qui de droit : l’imprimeur, le webmaster et/ou le vidéaste.

Infographiste

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Créateur de messages et artisan des discours
Graphiste exécutant , il ou elle est spécialiste de la mise en page numérique.

Qui est-ce ?

C’est un ou une spécialiste en PAO (Publication Assistée par Ordinateur). Il ou elle est également appelé·e maquettiste, c’est-à-dire celui ou celle qui fait les maquettes d’un projet de publicité ou de communication visuelle. C’est un·e créatif·ve, qui réalise des travaux graphiques. Et c’est aussi un·e technicien·ne qui, avec ses logiciels, assemble des contenus et livre des fichiers.

Quel est son rôle ?

Il ou elle fait de l’infographie, des mises en page, autrement dit des compositions visuelles associant des titres, textes, photos, dessins… pour des publications destinées à être imprimées ou diffusées sur internet. Son rôle est aussi de faire les retouches photos, enlever le fond et ne garder que les contours, intégrer le texte et bien évidemment faire des corrections. Le but étant que tout reste bien lisible et visuellement attractif.

En complément, l’infographiste doit savoir créer des images en 2D ou 3D. Cela peut être, par exemple, des icônes pour une communication informative, des émojis ou des graphiques qui permettent de mieux comprendre une situation ou une information, comme dans un manuel scolaire ou un magazine d’actualité par exemple.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Indépendant·e ou salarié·e, l’infographiste travaille pour des agences conseil, des studios spécialisés ou pour des services communication. Le ou la directeur·rice artistique, ou le ou la responsable de la com lui donnent le cap à suivre et lui confient l’exécution d’un projet, à réaliser dans un temps imparti et le respect d’un brief, qui donne toutes les consignes et les contraintes. Lorsque la maquette est validée, il ou elle réalise le document final et livre (après signature du B.A.T “bon à tirer” ou P.A.D “prêt à diffuser”) les fichiers à qui de droit : l’imprimeur·se, le ou la webmaster et/ou le ou la vidéaste.

L’infographiste travaille avec

Directeur artistique

Photographe
Vidéaste

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mcom7-Influenceur Illustrations-Club de la presse- Messak9

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Influenceur

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Le nouveau partenaire de la communication des marques
Il est un relai d’opinions et de tendances qui influencent les habitudes d’achat

Qui est-ce ?

Influenceur désigne quelqu’un qui a, via internet et les réseaux sociaux en particulier, une influence sur un groupe de personnes que l’on appelle ses “followers”. Les personnes qui font partie de cette communauté ont tendance à suivre ses recommandations ou ses choix concernant leur consommation ou leur mode de vie.

L’influenceur affiche des choix, un style, effectue des actions qui suscitent l’envie ou l’admiration au sein d’une communauté qui cherche à l’imiter. Il produit des articles de blog, des publications Instagram, des vidéos YouTube, TikTok, des Instastories ou encore des vidéos/photos Snapchat. Toutes ses activités affichées font l’objet de “likes”, de “commentaires”, de “partages” qui sont, avec le nombre affiché de ses fans, autant d’indicateurs de sa popularité.

Quel est son rôle ?

Parmi les principales catégories d’influenceurs, on distingue :
– les blogueurs influents, qui font autorité dans un domaine (mode, voyage, environnement, jeux vidéos, musique, etc.) et possèdent leur communauté.
– les évaluateurs, qui notent et donnent leur avis sur des produits.
– les sentinelles, qui sont à l’affût des nouveautés et qui diffusent sur le web des informations fraîches en avant-première.

Lorsque l’influenceur réunit une communauté de fans importante, lorsque l’impact de ses “posts” mobilise pour un événement ou pour l’achat d’un produit, les marques peuvent lui proposer des partenariats rémunérés à la hauteur du taux d’engagement généré par ses posts.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

C’est un métier nouveau, qui n’est pas encore très encadré. Seule une minorité des personnes qui l’exerce parviennent à en vivre. Les influenceurs travaillent souvent seuls, mais lorsqu’ils gagnent en visibilité, ils peuvent collaborer avec des photographes, des directeurs artistiques, des vidéastes et des graphistes.

Influenceur·se

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Le·la nouveau partenaire de la communication des marques
Il ou elle est un relai d’opinions et de tendances qui influencent les habitudes d’achat.

Qui est-ce ?

Influenceur·se désigne quelqu’un qui a, via internet et les réseaux sociaux en particulier, une influence sur un groupe de personnes que l’on appelle ses “followers”. Les personnes qui font partie de cette communauté ont tendance à suivre ses recommandations ou ses choix concernant leur consommation ou leur mode de vie.

L’influenceur·se affiche des choix, un style, effectue des actions qui suscitent l’envie ou l’admiration au sein d’une communauté qui cherche à l’imiter. Il ou elle produit des articles de blog, des publications Instagram, des vidéos YouTube, TikTok, des Instastories ou encore des vidéos/photos Snapchat. Toutes ses activités affichées font l’objet de “likes”, de “commentaires”, de “partages” qui sont, avec le nombre affiché de ses fans, autant d’indicateurs de sa popularité.

Quel est son rôle ?

Parmi les principales catégories d’influenceurs, on distingue :
– les blogueur·se·s influent·e·s, qui font autorité dans un domaine (mode, voyage, environnement, jeux vidéos, musique, etc.) et possèdent leur communauté
– les évaluateur·trice·s, qui notent et donnent leur avis sur des produits.
– les sentinelles, qui sont à l’affût des nouveautés et qui diffusent sur le web des informations fraîches en avant-première.

Lorsque l’influenceur·se réunit une communauté de fans importante, lorsque l’impact de ses “posts” mobilise pour un événement ou pour l’achat d’un produit, les marques peuvent lui proposer des partenariats rémunérés à la hauteur du taux d’engagement généré par ses posts.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

C’est un métier nouveau, qui n’est pas encore très encadré. Seule une minorité des personnes qui l’exercent parviennent à en vivre. Les influenceur·se·s travaillent souvent seuls mais lorsqu’ils ou elles gagnent en visibilité, ils ou elles peuvent collaborer avec des photographes, des directeur·trice·s artistiques, des vidéastes et des graphistes.

L’influenceur travaille avec

Directeur artistique

Photographe
Vidéaste

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mcom6-Illustrateur Illustrations-Club de la presse- Messak3

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Illustrateur

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Artisan de l’image, au service de toute communication
Avec son talent d’artiste, il ou elle éclaire un sujet.

Qui est-ce ?

C’est généralement un brillant dessinateur, qui esquisse à l’ancienne et travaille dans la modernité. Il utilise notamment des logiciels pour améliorer son trait, les couleurs, les textures et, bien sûr, la lumière. D’ailleurs, le nom de son métier vient du latin Illustrator : « qui donne de l’éclat », par l’image, le dessin, la peinture… Son talent sert ainsi la notoriété d’une marque ou d’une cause ; c’est un artisan qui « traduit », en images les souhaits de son client.

Quel est son rôle ?

Au temps où la photographie n’existait pas, l’illustrateur d’une publicité devait… tout représenter ! Et cela, le plus souvent, pour une affiche, d’où l’autre nom jadis donné au métier : affichiste.

De nos jours, avec le tout numérique, il n’est plus autant indispensable mais sa vocation reste la même : avec sa créativité, ses crayons, ses pinceaux et sa palette graphique, il transmet, par l’image, un message, des idées, des informations, des émotions…

Son art de la représentation et sa technicité sont toujours appréciés, en particulier s’il faut des visuels pour des campagnes d’image ou des images explicatives pour une plaquette ou sur un site web. En terme d’impact et de mémorisation, c’est souvent déterminant !

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Indépendant, l’illustrateur travaille pour tout type d’entreprises ou d’associations. La plupart du temps, car c’est un communicant, il collabore avec des agences conseil, des studios spécialisés, des maisons d’édition ou des agences d’iconographie. Il reçoit alors le brief d’un directeur artistique en charge d’un projet (print, web ou vidéo) et rencontre parfois ceux qui gèreront l’intégration de ses visuels : l’infographiste, le webdesigner, le webmaster… ou l’expert en motion-design.

Illustrateur·rice

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Artisan·e de l’image, au service de toute communication
Artisan·e de l’image, au service de toute communication.

Qui est-ce ?

C’est généralement un·e brillant·e dessinateur·rice, qui esquisse à l’ancienne et travaille dans la modernité. Elle ou il utilise notamment des logiciels pour améliorer son trait, les couleurs, les textures et, bien sûr, la lumière. D’ailleurs, le nom de son métier vient du latin Illustrator : « qui donne de l’éclat », par l’image, le dessin, la peinture… Son talent sert ainsi la notoriété d’une marque ou d’une cause ; c’est un·e artisan·e qui « traduit » en images les souhaits de son.a client·e.

Quel est son rôle ?

Au temps où la photographie n’existait pas, l’illustrateur·rice d’une publicité devait… tout représenter ! Et cela, le plus souvent, pour une affiche, d’où l’autre nom jadis donné au métier : affichiste.

De nos jours, avec le tout numérique, il ou elle n’est plus autant indispensable mais sa vocation reste la même : avec sa créativité, ses crayons, ses pinceaux et sa palette graphique, il ou elle transmet, par l’image, un message, des idées, des informations, des émotions…

Son art de la représentation et sa technicité sont toujours appréciés, en particulier s’il faut des visuels pour des campagnes d’image ou des images explicatives pour une plaquette ou sur un site web. En terme d’impact et de mémorisation, c’est souvent déterminant !

Comment et avec qui travaille-t-il ou t-elle ?

Indépendant·e, l’illustrateur·rice travaille pour tout type d’entreprises ou d’associations. La plupart du temps, car c’est un·e communicant·e, il ou elle collabore avec des agences conseil, des studios spécialisés, des maisons d’édition ou des agences d’iconographie. Il ou elle reçoit alors le brief d’un·e directeur·rice artistique en charge d’un projet (print, web ou vidéo) et rencontre parfois ceux·elles qui gèreront l’intégration de ses visuels : infographiste, webdesigner, webmaster… ou l’expert·e en motion-design.

L’illustrateur travaille avec

Directeur artistique

Infographiste

Webdesigner

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mcom3-Community manager Illustrations-Club de la presse- Messak8

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Community manager

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Ambassadeur ou ambassadrice de la marque sur les réseaux sociaux
Via les communautés 2.0, il ou elle entretient le dialogue entre l’entreprise et son public.

Qui est-ce ?

Le community-manager, c’est celui ou celle qui s’exprime au nom d’une marque sur les réseaux sociaux, en créant des liens avec des « communautés » (c’est-à-dire des utilisateurs réunis en groupe sur Facebook®, Instagram® Twitter® ou Tik-Tok® par exemple). Demandant de sérieuses connaissances en marketing digital et communication relationnelle, ce métier est apparu dans les années 2000 lorsque le web a permis aux entreprises de s’adresser plus facilement « de personne à personne » à leurs publics.

Ce métier est différent d’influenceur. Le community manager lui, se met au service d’une entreprise et reste le plus souvent anonyme.

Quel est son rôle ?

La première tâche d’un community manager est d’animer les réseaux sociaux de sa marque. Il doit aussi surveiller attentivement, sur internet et les réseaux, ce que les consommateurs disent (à propos de l’entreprise et de ses marques de produits et/ou services). Il scrute ainsi régulièrement les sites, forums, blogs et commentaires personnels publiés sous forme de posts, de tweets… Le but est de proposer des réponses adaptées au contexte et aux attentes. Et ce n’est pas facile… il faut être réactif et même prévoir « au cas où », un plan d’actions de communication de crise (pour arriver à gérer d’urgence une situation devenant problématique en termes d’image et de respectabilité).

En dialoguant avec des communautés d’utilisateurs, le « CM » veille donc à ce que l’e-réputation de la marque qui lui est confiée reste positive.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Pour remplir ses missions, le « CM » participe à l’élaboration d’une stratégie de social media avec la direction marketing. S’il est salarié de l’entreprise ou free-lance, il travaille sous la direction du responsable de communication. Dans une agence conseil (généraliste ou spécialisée), il est encadré par un chef de projet

Community Manage.ur.euse

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Ambassadeur ou ambassadrice de la marque sur les réseaux sociaux
Via les communautés 2.0, il ou elle entretient le dialogue entre l’entreprise et son public.

Qui est-ce ?

Le ou la community manager·euse, c’est celui ou cellecelui·elle qui s’exprime au nom d’une marque sur les réseaux sociaux, en créant des liens avec des « communautés » (c’est-à-dire des utilisateurs[ab4] [ab5] ·trices réunis en groupe sur Facebook®, Instagram® Twitter® ou Tik-Tok® par exemple). Demandant de sérieuses connaissances en marketing digital et communication relationnelle, ce métier est apparu dans les années 2000 lorsque le web a permis aux entreprises de s’adresser plus facilement « de personne à personne » à leurs publics.

Ce métier est différent d’influenceur·euse. Le ou la community manager·euse se met au service d’une entreprise et reste le plus souvent anonyme.

Quel est son rôle ?

La première tâche d’un ou une community manager·euse [ab6] est d’animer les réseaux sociaux de sa marque. Il ou elle doit aussi surveiller attentivement, sur internet et les réseaux, ce que les consommateur·rice·s disent (à propos de l’entreprise et de ses marques de produits et/ou services). Il ou elle scrute ainsi régulièrement les sites, forums, blogs et commentaires personnels publiés sous forme de posts, de tweets… Le but est de proposer des réponses adaptées au contexte et aux attentes. Et ce n’est pas facile… il faut être réactif[ab7] et même prévoir « au cas où », un plan d’actions de communication de crise (pour arriver à gérer d’urgence une situation devenant problématique en termes d’image et de respectabilité).

En dialoguant avec des communautés d’utilisateurs, le ou la « CM » veille donc à ce que l’e-réputation de la marque qui lui est confiée reste positive.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Pour remplir ses missions, le ou la « CM » participe à l’élaboration d’une stratégie de social media avec la direction marketing. S’il ou elle est salarié·e de l’entreprise ou free-lance, il ou elle travaille sous la direction du responsable de communication. Dans une agence conseil (généraliste ou spécialisée), il ou elle est encadré·e par un ou une chef·fe de projet.

Le Community manager travaille avec

Responsable communication

Chef de projet

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mcom2-Chef de projet Illustrations-Club de la presse- Messak4

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Chef de projet

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Capitaine d’équipe, chef de la réussite du projet
Responsable de l’organisation d’un projet, il ou elle pilote une équipe dédiée

Qui est-ce ?

C’est le ou la « capitaine » d’équipe. Comme dans le monde du sport, c’est celui ou celle qui mène le jeu et sait tirer le meilleur de chacun-chacune pour qu’il y ait du « beau jeu ». C’est le chef d’un collectif au service d’un projet… publicitaire ou non. Certains font par exemple de la communication institutionnelle. D’autres sont « chef de projet digital », ou « chef de projet évènementiel ».

Quel est son rôle ?

Il participe à la réflexion stratégique. C’est d’ailleurs lui qui écrit le brief, c’est-à-dire le cahier des charges, l’ensemble des consignes et des contraintes mais aussi des suggestions personnelles et toutes les solutions envisagées, à explorer, à définir et/ou à concrétiser.

L’évaluation du budget des opérations fait également partie de ses responsabilités, de même que la sélection et le suivi des intervenants utiles au projet. En clair, il faut planifier, budgétiser, faire le « choix des créatifs et des techniciens, les « briefer », puis coordonner leur travail et valider chaque étape jusqu’à l’aboutissement du projet.

En tant que « capitaine », il conduit des opérations complexes en veillant bien à gagner la sympathie de tous : client, agence, collaborateurs… et évidemment le public visé.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

À l’écoute de son client (souvent représenté par le responsable de communication), et en accord avec le directeur d’agence et le directeur de clientèle, le chef de projet s’entend avec l’ensemble des acteurs et corporations utiles à la réalisation du projet : les métiers de la stratégie, les métiers des créatifs et les métiers du web.

Chef·fe de projet

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Capitaine d’équipe, chef·fe de la réussite du projet
Responsable de l’organisation d’un projet, elle ou il pilote une équipe dédiée.

Qui est-ce ?

C’est le ou la « capitaine » d’équipe. Comme dans le monde du sport, c’est celui ou celle qui mène le jeu et sait tirer le meilleur de chacun·e pour qu’il y ait du « beau jeu ». C’est le ou la chef·fe d’un collectif au service d’un projet… publicitaire ou non. Certain·e·s font par exemple de la communication institutionnelle. D’autres sont « chef·fe de projet digital », ou « chef·fe de projet évènementiel ».

Quel est son rôle ?

Il ou elle participe à la réflexion stratégique. C’est d’ailleurs celui·elle qui écrit le brief, c’est-à-dire le cahier des charges, l’ensemble des consignes et des contraintes mais aussi des suggestions personnelles et toutes les solutions envisagées, à explorer, à définir et/ou à concrétiser.

L’évaluation du budget des opérations fait également partie de ses responsabilités, de même que la sélection et le suivi des intervenants utiles au projet. En clair, il faut planifier, budgétiser, faire le choix des créatifs et des techniciens, les « briefer », puis coordonner leur travail et valider chaque étape jusqu’à l’aboutissement du projet.

En tant que « capitaine », elle ou il conduit des opérations complexes en veillant bien à gagner la sympathie de toutes et de tous : client·e, agence, collaborateur·rice·s… et évidemment le public visé.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

À l’écoute de son·sa client·e (souvent représenté·e par la ou le responsable de communication), et en accord avec le ou la directeur·rice d’agence et le ou la directeur·rice de clientèle, le ou la chef·fe de projet s’entend avec l’ensemble des acteur·rice·s et corporations utiles à la réalisation du projet : les métiers de la stratégie, les métiers des créatifs et les métiers du web.

Le Chef de projet travaille avec

Responsable communication

Directeur artistique

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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mcom1-Attaché de presse Illustrations-Club de la presse- Messak7

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Attaché(e) de presse

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Interface auprès des journalistes et des médias
Il gère les relations avec les journalistes et le monde de la presse.

Qui est-ce ?

C’est la personne qui tient les journalistes informés de l’actualité d’une entreprise, d’une collectivité ou d’une association, d’artistes… Il rédige des communiqués et des dossiers de presse. Et si besoin, organise des conférences de presse.

Quel est son rôle ?

La presse est une précieuse alliée dans l’univers de la communication. Un article, un reportage, une interview permettent souvent de faire découvrir un produit, un projet ou une entreprise. L’attaché de presse est un peu “l‘interface” de son employeur ou de son client, son expert en relations en presse et son relais auprès des média.

Quand le sujet est suffisamment important (comme le lancement d’un produit nouveau, la médiatisation d’une action en faveur d’une cause, ou la promotion d’un artiste célèbre, par exemple), il peut organiser uneconférence de presseC’est un rendez-vous organisé pour présenter aux journalistes un événement qui va avoir lieu ou une personne qui fait l’actualité. Durant cette rencontre, les journalistes peuvent poser des questions. et inviter des journalistes ciblés de la presse écrite, radio, télé et web voire des influenceurs. Argumentaires, descriptifs, explications, photos, contacts : les dossiers de presse qui leur sont remis lors de cette rencontre contiennent toutes les informations pour écrire un article et relayer l’information.

À l’issue de chaque conférence, il faut garder le lien avec les journalistes, puis réaliser pour le client une revue de presse qui regroupe tous les articles parus, les passages radio et/ou télé et toute publication ou émission diffusées sur internet à son propos. Cela permet de garder la trace de ce qui a été relayé dans les médias. Il accompagne les porte-parole dans la préparation des interviews ou des événements médiatisés.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Théoriquement, l’attaché(e) de presse peut travailler seul(e) avec son client. Au service d’une grande entreprise, il (ou elle) se réfère au responsable de communication et travaille avec le (ou) la chargé(e) des relations de publiques, en liaison éventuellement avec un chef de projet et tous les métiers utiles à la réalisation de dossiers de presse.

Attaché·e de presse

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Interface auprès des journalistes et des médias
Il ou elle gère les relations avec les journalistes et le monde de la presse.

Qui est-ce ?

C’est la personne qui tient les journalistes informés de l’actualité d’une entreprise, d’une collectivité ou d’une association, d’artistes… Il ou elle rédige des communiqués et des dossiers de presse. Et si besoin, organise des conférences de presse.

Quel est son rôle ?

La presse est une précieuse alliée dans l’univers de la communication. Un article, un reportage, une interview permettent souvent de faire découvrir un produit, un projet ou une entreprise. L’attaché·e de presse est un peu “l‘interface” de l’employeur ou du ou de la client·e, sa·son expert·e en relations en presse et son relais auprès des média.

Quand le sujet est suffisamment important (comme le lancement d’un produit nouveau, la médiatisation d’une action en faveur d’une cause, ou la promotion d’un artiste célèbre, par exemple), il ou elle peut organiser une conférence de presseC’est un rendez-vous organisé pour présenter aux journalistes un événement qui va avoir lieu ou une personne qui fait l’actualité. Durant cette rencontre, les journalistes peuvent poser des questions. et inviter des journalistes ciblé·e·s de la presse écrite, radio, télé et web voire des influenceur·euse·s. Argumentaires, descriptifs, explications, photos, contacts : les dossiers de presse qui leur sont remis lors de cette rencontre contiennent toutes les informations pour écrire un article et relayer l’information.

À l’issue de chaque conférence, il faut garder le lien avec les journalistes, puis réaliser pour le ou la client·e une revue de presse qui regroupe tous les articles parus, les passages radio et/ou télé et toute publication ou émission diffusées sur internet à son propos. Cela permet de garder la trace de ce qui a été relayé dans les médias. Il ou elle accompagne les porte-parole dans la préparation des interviews ou des événements médiatisés.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Théoriquement, l’attaché·e de presse peut travailler seul·e avec son·sa client·e. Au service d’une grande entreprise, il ou elle se réfère à son·sa responsable de communication et travaille avec le ou la chargé·e des relations de publiques, en liaison éventuellement avec un·e chef·fe de projet et tous les métiers utiles à la réalisation de dossiers de presse.

L’Attaché(e) de presse travaille avec

Responsable communication

Chef de projet

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mjourn13-Rédacteur en chef Illustrations-Club de la presse- Messak7

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Rédacteur en chef

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À la tête d’une équipe de journalistes, il ou elle est un véritable chef d’orchestre du journalisme.

Qui est-ce ?

Presse, site internet, radio, télévision… Tous ces médias ont un point commun : ils ne peuvent pas se passer d’un rédacteur en chef ! Ce journaliste joue un rôle clé. Il choisit les informations qui seront diffusées et donne le ton et la manière dont les journalistes vont transmettre l’actualité. Il est le responsable de tout ce qui est diffusé mais aussi de l’équipe de journalistes.

Quel est son rôle ?

Le rédacteur en chef fait souvent de longues journées. Il est un peu le capitaine d’une équipe : il choisit les sujets d’actualité à traiter, décide de leur format (le nombre de minutes ou de mots) et parfois, décide même quel journaliste va s’en occuper. Mais il n’est pas seul ! Pour se faire une idée, il dirige les conférences de rédactionC’est une réunion qui permet à toute l’équipe de journalistes de débattre et de décider des sujets d’actualité qui vont être traités. où toute l’équipe apporte les propositions de sujets, et les défend. Ce sont des moments parfois très animés et il doit savoir faire des choix ! Ensuite, il reste au contact des journalistes qui sont sur le terrain. Si une information devient plus importante que prévu, c’est lui qui va décider d’en faire un reportage plus long. Ou de le mettre à la UneAjouter un texte d'infobulle.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

La plupart du temps, le rédacteur est un ancien journaliste de terrain mais maintenant, il ne fait plus de reportage. Il maîtrise le fonctionnement de son média, connaît toutes les personnes de son équipe, et est en contact avec le commercial. De son bureau, il coordonne toute l’équipe, et sait faire des choix dès qu’une nouvelle information arrive.

Rédacteur·rice en chef

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À la tête d’une équipe de journalistes, il ou elle est un·e véritable chef·fe d’orchestre du journalisme.

Qui est-ce ?

Presse, site internet, radio, télévision… Tous ces médias ont un point commun : ils ne peuvent pas se passer d’un·e rédacteur·rice en chef ! Ce ou cette journaliste joue un rôle clé. Il ou elle choisit les informations qui seront diffusées et donne le ton et la manière dont les journalistes vont transmettre l’actualité. Il ou elle est responsable de tout ce qui est diffusé mais aussi de l’équipe de journalistes.

Quel est son rôle ?

Le ou la rédacteur·rice en chef fait souvent de longues journées. C’est un peu le capitaine d’une équipe : il ou elle choisit les sujets d’actualité à traiter, décide de leur format (le nombre de minutes ou de mots) et parfois, décide même quel journaliste va s’en occuper. Mais il ou elle n’est pas seul·e ! La conférence de rédactionC’est une réunion qui permet à toute l’équipe de journalistes de débattre et de décider des sujets d’actualité qui vont être traités., où toute l’équipe apporte les propositions de sujets et les défend, permet de faire des choix. Ce sont des moments parfois très animés ! Ensuite, il ou elle reste au contact des journalistes qui vont sur le terrain. Si une information devient plus importante que prévu, c’est lui ou elle qui va décider d’en faire un reportage plus long. Ou de le mettre à la UneAjouter un texte d'infobulle.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

La plupart du temps, le ou la rédacteur·rice est un·e ancien·ne journaliste de terrain mais maintenant, il ou elle ne fait plus de reportage. Il ou elle maîtrise le fonctionnement de son média, connaît toutes les personnes de son équipe, et est en contact avec le ou la commercial·e. De son bureau, il ou elle coordonne toute l’équipe, et sait faire des choix dès qu’une nouvelle information arrive.

Le Rédacteur en chef travaille avec

Journaliste

Secrétaire de
rédaction

Photographe
Photojournaliste

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

mjourn12-Photographe Illustrations-Club de la presse- Messak14

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Photographe-Photojournaliste

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Informer avec des photos, telle est la mission de ce ou cette spécialiste de l’image.

Qui est-ce ?

Comme le JRI, le rédacteur en chef ou encore le dessinateur, le photographe est un journaliste à part entière, avec une carte de presse. Il recueille des informations… avec un appareil photo.

Le photographe transmet par ses images des informations mais aussi des émotions qui complètent l’article du journaliste rédacteur.

Le photojournaliste, lui, est à la fois photographe et rédacteur. Il peut fournir un reportage complet au rédacteur en chef ou chef d’édition.

Quel est son rôle ?

Le photographe doit illustrer un sujet d’actualité avec une ou plusieurs photos. Il se déplace sur le terrain pour photographier les événements. Souvent, il prend de nombreuses photos, mais une seule sera publiée ! La

doit permettre au lecteur de comprendre cette image rapidement.
Comme le grand reporter, le photojournaliste mène un travail de recherche très approfondi sur un sujet en particulier. Il raconte les événements mais aussi les photographie. Il passe beaucoup de temps à rechercher le meilleur angle, la meilleure lumière, le meilleur moment pour prendre les photos.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le photographe travaille le plus souvent avec la rédaction : il participe aux

, peut partir sur le terrain avec le rédacteur, choisit la photo qui sera publiée avec un secrétaire de rédaction ou chef d’édition.

Le photojournalisme est un métier plus solitaire : il part souvent seul sur le terrain. C’est une profession qui peut être dangereuse s’il se déplace sur des zones compliquées (pays en guerre, catastrophes naturelles) ou s’il travaille sur des sujets sensibles (le terrorisme). En France, un grand festival met le travail des photographes et photojournalistes en avant : Visa pour l’image. Il a lieu tous les ans à Perpignan et permet de découvrir de nombreuses photos d’actualité.

Photographe-Photojournaliste

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Informer avec des photos, telle est la mission de ce ou cette spécialiste de l’image.

Qui est-ce ?

Comme le ou la JRI, le ou la rédacteur·rice en chef ou encore le ou la dessinateur·rice, le ou la photographe est un·e journaliste à part entière, avec une carte de presse, dont l’objectif est de recueillir des informations… avec un appareil photo. Ses images transmettent des informations mais aussi des émotions qui complètent l’article du rédacteur···i·rice. Le ou la photojournaliste est à la fois photographe et rédacteur·rice, capable de fournir un reportage complet.

Quel est son rôle ?

Le ou la photographe doit illustrer un sujet d’actualité avec une ou plusieurs photos. Il ou elle se déplace sur le terrain pour photographier les événements. Souvent, il ou elle prend de nombreuses photos, mais une seule sera publiée ! La légendeC’est un court texte qui donne des informations sur la photo qu’elle accompagne. doit permettre au lecteur de comprendre cette image rapidement.

Comme le ou la grand·e reporter, le ou la photojournaliste mène un travail de recherche très approfondi sur un sujet en particulier. Son objectif est de parvenir à raconter les événements mais aussi les photographier. Cela demande de passer beaucoup de temps à rechercher le meilleur angle, la meilleure lumière, le meilleur moment pour prendre les photos.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le ou la photographe travaille le plus souvent avec la rédaction, participe aux conférences de rédactionRéunion de travail où l’équipe de journalistes réunie choisit les sujets d’actualité qui seront traités dans le prochain journal du titre., peut partir sur le terrain avec le ou la rédacteur·rice, et choisit la photo qui sera publiée avec un·e secrétaire de rédaction ou chef·fe d’édition.

Le photojournalisme est un métier plus solitaire qui consiste souvent à partir seul·e sur le terrain. C’est une profession qui peut être dangereuse sur des zones compliquées (pays en guerre, catastrophes naturelles), ou si le sujet traité est sensible (le terrorisme par exemple). En France, un grand festival met le travail des photographes et photojournalistes en avant : Visa pour l’image. Il a lieu tous les ans à Perpignan et permet de découvrir de nombreuses photos d’actualité.

Le Photographe-Photojournaliste travaille avec

Rédacteur

Secrétaire de
rédaction

Rédacteur en chef

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mjourn11-Localier Illustrations-Club de la presse- Messak3

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Localier

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Il ou elle suit l’actualité d’une ville ou d’une agglomération.

Qui est-ce ?

C’est un journaliste généraliste : il est capable d’écrire des articles sur de nombreux sujets d’actualité comme la politique, l’économie, l’éducation, le sport ou encore les accidents, les procès et tout autre événement qui a lieu dans sa ville. Un localier peut être rédacteur, s’il travaille pour la presse écrite. Dans le vocabulaire des journalistes, on dit alors qu’il travaille pour la PQR (Presse Quotidienne Régionale) ou bien la PQD (presse quotidienne départementale), PHR (presse hebdomadaire régionale)… Il peut aussi être un journaliste radio, ou travailler pour une chaîne de télévision, un site internet.

Quel est son rôle ?

Le localier ne relate pas les catastrophes qui se passent à l’autre bout du monde (sauf si une équipe de pompiers de sa ville est amenée à se rendre sur place en renfort à l’aide internationale !). Son rôle consiste plutôt à transmettre des informations qui se passent près de chez lui.

En France, de nombreux médias sont spécialisés dans ces informations. À Nîmes et dans le Gard par exemple, Midi Libre, La Gazette de Nîmes, Le Républicain d’Uzès, les radios France Bleu, Raje, Radio Nîmes, les décrochages des chaînes de télévision France 3 ou des sites internet comme Objectif Gard se concentrent sur les actualités du département. Ce sont ces médias qui donnent les résultats des équipes de sport de la ville, ou qui rapportent les grandes décisions du maire, ce qui se passe dans un quartier ou une association.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Les journalistes localiers ont une très bonne connaissance de leur terrain. Pour les aider, ils sont en permanence au contact du service communication de la ville par exemple, des responsables communication des clubs sportifs ou des sapeurs-pompiers etc… Tous ces professionnels de la communication l’aident à mieux comprendre une situation, un événement ou parfois lui apportent des informations supplémentaires. Mais comme tout journaliste, le localier garde son esprit critique et ne répète pas tout ce qu’on lui dit. Il doit faire un tri et confronter, si besoin, plusieurs points de vue sur un même sujet au moment de diffuser l’info.

Localier·ière

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Il ou elle suit l’actualité d’une ville ou d’une agglomération.

Qui est-ce ?

C’est un·e journaliste généraliste : il ou elle est capable d’écrire des articles sur de nombreux sujets d’actualité comme la politique, l’économie, l’éducation, le sport ou encore les accidents, les procès et tout autre événement qui a lieu dans sa ville. Un·e localier·ière peut être rédacteur·rice pour la presse écrite. Dans le vocabulaire des journalistes, on parle de la PQR (presse quotidienne régionale) ou bien de la PQD (presse quotidienne départementale), PHR (presse hebdomadaire régionale)… Le localier ou la localière peut aussi travailler pour une radio ou une chaîne de télévision, un site internet.

Quel est son rôle ?

Le ou la localier·ière ne relate pas les catastrophes qui se passent à l’autre bout du monde (sauf si une équipe de pompiers de sa ville est amenée à se rendre sur place en renfort à l’aide internationale !). Son rôle consiste plutôt à transmettre des informations qui se passent à proximité.

En France, de nombreux médias sont spécialisés dans ces informations. À Nîmes et dans le Gard par exemple, Midi Libre, La Gazette de Nîmes, Le Républicain d’Uzès, les radios France Bleu, Raje, Radio Nîmes, les décrochages des chaînes de télévision France 3 ou des sites internet comme Objectif Gard se concentrent sur les actualités du département. Ce sont ces médias qui donnent les résultats des équipes de sport de la ville, ou qui rapportent les grandes décisions du maire, ce qui se passe dans un quartier ou une association.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Ces journalistes ont une très bonne connaissance de leur terrain. Pour les aider, ils ou elles sont en permanence au contact du service communication de la ville par exemple, des responsables communication des clubs sportifs ou des sapeurs-pompiers etc… Tou·te·s ces professionnel·le·s de la communication l’aident à mieux comprendre une situation, un événement ou parfois lui apportent des informations supplémentaires. Mais comme pour tout·e journaliste, il est là aussi indispensable de garder un esprit critique. Il faut faire un tri et confronter, si besoin, plusieurs points de vue sur un même sujet au moment de diffuser l’info.

Le Localier travaille avec

Rédacteur en chef

Secrétaire de
rédaction

Photographe
Photojournaliste

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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Journaliste Illustrations-Club de la presse- Messak11

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Journaliste

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Sa mission ? Rendre compte de l’actualité, de la manière la plus claire possible.

Qui est-ce ?

Un journaliste, c’est une personne qui informe la population dans les médias, sur une multitude de sujets. Au début, les journalistes utilisaient la presse écrite (le journal). Ensuite, ils ont pu transmettre des informations grâce à la radio et la télévision. Aujourd’hui, avec internet, l’actualité est accessible à tout moment sur les ordinateurs et téléphones portables à travers les réseaux sociaux et les sites internet des médias.

Il existe de nombreuses façons d’exercer ce métier : rédacteur, journaliste radio, présentateur, rédacteur en chef (…). Ces derniers ne travaillent généralement que pour un seul titre. Le pigiste, lui, est un journaliste indépendant et peut travailler pour plusieurs médias à la fois.

En France, il y a 36 000 journalistes, des femmes comme des hommes. Ils ont une carte de presse.

Quel est son rôle ?

Qu’il soit grand reporter ou localier, son premier objectif est toujours de répondre aux questions suivantes : où, quand, qui, quoi, comment ? Mais avant de diffuser une nouvelle, le journaliste doit absolument être certain que les faits sont avérés et ont bien eu lieu. Pour cela, il fait des reportages : il se déplace là où se passe un événement pour pouvoir raconter ce qu’il a vu. Il cherche des informations précises et les vérifie auprès de sources fiables, interroge des témoins ou des spécialistes pour obtenir plusieurs avis.

Il doit rapporter les faits de manière objective, c’est-à-dire sans prendre parti, ni donner son opinion et doit respecter certaines règles. C’est la déontologieC’est l’ensemble des règles que doivent respecter les journalistes, le code de bonne conduite de la profession.. Il est, par exemple, interdit pour un journaliste d’inventer des détails pour rendre l’histoire plus attrayante et faire plus de clics sur internet !

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le journaliste travaille avec tout le monde et tout le temps ! Il est sans cesse à l’affût d’une actualité ou d’un scoopl s’agit d’une information dévoilée en premier par un journaliste. On dit alors que le journaliste a un scoop., et la moindre conversation peut lui mettre la puce à l’oreille. Pour l’aider ou l’orienter, il se tourne parfois vers des professionnels de la communication : l’attaché de presse, le responsable de l’événement, la direction de la communication, ou encore un chef de projet. Mais il n’est pas obligé de les croire. L’objectif du journaliste professionnel est de transmettre une information fiable et vérifiée. Le journalisme est un moyen de lutter contre les infox, qu’on appelle aussi fake news, ces informations volontairement truquées qui circulent beaucoup sur internet. C’est pour cela que de nombreux médias proposent maintenant le décodage des infox.

Le journaliste peut aussi protéger et garder secrètes le nom des personnes qui lui donnent des informations, ses sourcesles personnes qui transmettent des informations importantes et sensibles aux journalistes.. C’est la liberté de la presse, grâce à laquelle il peut faire éclater des affaires importantes qui mettent parfois en cause des personnes connues ou qui ont beaucoup de pouvoir. C’est pourquoi c’est une profession essentielle pour la démocratie.

Journaliste

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Sa mission ? Rendre compte de l’actualité, de la manière la plus claire possible.

Qui est-ce ?

Un·e journaliste, c’est une personne qui informe la population dans les médias, sur une multitude de sujets. Au début, les journalistes utilisaient la presse écrite (le journal). Ensuite, ces spécialistes de l’actualité ont pu transmettre des informations grâce à la radio et la télévision. Aujourd’hui, avec internet, l’information est accessible à tout moment sur les ordinateurs et téléphones portables à travers les réseaux sociaux et les sites internet des médias.

Il existe de nombreuses façons d’exercer ce métier : rédacteur·rice, journaliste radio, présentateur·rice, rédacteur·rice en chef (…). Ceux-ci et celles-ci ne travaillent généralement que pour un seul titre. Certain·e·s, comme le ou la pigiste, sont indépendant·e·s et peuvent travailler pour plusieurs médias à la fois.

En France, il y a environ 36 000 journalistes, des femmes comme des hommes. Ils ou elles ont généralement une carte de presse.

Quel est son rôle ?

Grand·e reporter ou localier·ière, le premier objectif est toujours de répondre aux questions suivantes : où, quand, qui, quoi, comment ? Mais avant de diffuser une nouvelle, il faut absolument vérifier que les faits sont avérés et ont bien eu lieu. Pour cela, le ou la journaliste fait des reportages, se déplace là où se passe un événement pour pouvoir raconter ce qu’il se passe, cherche des informations précises et les vérifie auprès de sources fiables, interroge des témoins ou des spécialistes pour obtenir plusieurs avis.

Sa mission est de rapporter les faits de manière objective, c’est-à-dire sans prendre parti, ni donner son opinion tout en respectant certaines règles. C’est la déontologieC’est l’ensemble des règles que doivent respecter les journalistes, le code de bonne conduite de la profession.. Il est, par exemple, interdit pour un·e journaliste d’inventer des détails pour rendre l’histoire plus attrayante et faire plus de clics sur internet !

Avec qui et comment travaille-t-il ou t-elle ?
Le ou la journaliste travaille avec tout le monde et tout le temps ! Il ou elle est sans cesse à l’affût d’une actualité ou d’un scoopl s’agit d’une information dévoilée en premier par un journaliste. On dit alors que le journaliste a un scoop., et la moindre conversation peut lui mettre la puce à l’oreille. Pour l’aider ou l’orienter, il ou elle se tourne parfois vers des professionnels de la communication : l’attaché·e de presse, le ou la responsable de l’événement, la direction de la communication, ou encore un·e chef·fe de projet. Mais il n’est pas obligé de les croire. L’objectif du ou de la journaliste professionnel·le est de transmettre une information fiable et vérifiée. Le journalisme est un moyen de lutter contre les infox, qu’on appelle aussi fake news, ces informations volontairement truquées qui circulent beaucoup sur internet. C’est pour cela que de nombreux médias proposent maintenant le décodage des infox.

Le ou la journaliste peut aussi protéger et garder secrètes le nom des personnes qui lui donnent des informations, ses sourcesles personnes qui transmettent des informations importantes et sensibles aux journalistes.. C’est la liberté de la presse, grâce à laquelle des affaires importantes peuvent éclater et qui mettent parfois en cause des personnes connues ou qui ont beaucoup de pouvoir. C’est pourquoi c’est une profession essentielle pour la démocratie.

Le Journaliste travaille avec

Rédacteur en chef

Secrétaire de
rédaction

Photographe
Photojournaliste

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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mjourn10-JRI Illustrations-Club de la presse- Messak13

Illustration : © Messak

Type d'écriture

JRI (Journaliste Reporter International)

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Spécialiste de l’image, il ou elle relate l’actualité à travers des vidéos.

Qui est-ce ?

Son principal outil de travail ? Une caméra ou un téléphone portable ! Le JRI est un Journaliste Reporter d’Images qui transmet l’actualité en images, par la vidéo. Avant, il ne travaillait que pour la télévision mais avec l’arrivée d’internet, le JRI peut aussi travailler pour des sites internet, pour la presse écrite et les radios, afin de compléter et enrichir les articles de ses collègues.

Quel est son rôle ?

Il débute sa journée par une conférence de rédactionC'est une réunion de travail où l’équipe de journalistes réunie choisit les sujets d’actualité qui seront traités dans le prochain journal du titre.. C’est lors de cette réunion avec ses collègues et le chef d’édition ou directeur d’antenne que se font les choix de reportages. Qui va suivre la conférence de presse’est un rendez-vous organisé pour présenter aux journalistes un événement qui va avoir lieu ou une personne qui fait l’actualité. Durant cette rencontre, les journalistes peuvent poser des questions. du club de foot ? Qui prépare un article sur la rentrée scolaire ? Toutes ces questions sont débattues en équipe. Ensuite, le JRI part en reportage pour tourner le sujet.

S’il est seul, il doit à la fois filmer, interroger les gens, faire attention à la prise de son, régler les couleurs et si possible prendre des notes ! S’il est en équipe, un autre journaliste rédacteur se charge de poser les questions et de prendre des notes. Après le tournage, il faut faire une sélection des images enregistrées pour mettre en forme le reportage. C’est un aspect assez technique du métier. Le JRI peut alors se faire aider d’un monteur. Il doit aussi préparer le texte qu’il va enregistrer pour mettre des mots sur les images.

Lorsque le reportage est prêt à être diffusé, il peut être mis en ligne sur le site internet ou programmé pour le prochain journal télévisé.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Lorsque le reportage est prêt à être diffusé, il passe dans les mains du chef d’antenne, qui vérifie que tout est correct. Ce dernier joue un peu le rôle de correcteur. Il est aussi responsable de tout ce qui est diffusé à l’antenne. Ensuite, le reportage est mis en ligne sur le site internet ou diffusé dans le prochain journal télévisé.

JRI (Journaliste Reporter International)

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Spécialiste de l’image, il ou elle relate l’actualité à travers des vidéos.

Qui est-ce ?

Son principal outil de travail ? Une caméra ou un téléphone portable ! Le ou la JRI est un·e Journaliste Reporter d’Images qui transmet l’actualité en images, par la vidéo. Avant, il ou elle ne travaillait que pour la télévision mais avec l’arrivée d’internet, le ou la JRI peut aussi travailler pour des sites internet, pour la presse écrite et les radios, afin de compléter et enrichir les articles de ses collègues.

Quel est son rôle ?

Sa journée débute par une conférence de rédactionC'est une réunion de travail où l’équipe de journalistes réunie choisit les sujets d’actualité qui seront traités dans le prochain journal du titre.. C’est lors de cette réunion avec ses collègues et le ou la chef·fe d’édition ou directeur·rice d’antenne que se font les choix de reportages. Qui va suivre laconférence de presse’est un rendez-vous organisé pour présenter aux journalistes un événement qui va avoir lieu ou une personne qui fait l’actualité. Durant cette rencontre, les journalistes peuvent poser des questions. du club de foot ? Qui prépare un article sur la rentrée scolaire ? Toutes ces questions sont débattues en équipe. Ensuite, le ou la JRI part en reportage pour tourner le sujet.

S’il ou si elle est seul·e, il ou elle doit à la fois filmer, interroger les gens, faire attention à la prise de son, régler les couleurs et si possible prendre des notes ! En équipe, un·e autre journaliste rédacteur·rice se charge de poser les questions et de prendre des notes. Après le tournage, il faut faire une sélection des images enregistrées pour mettre en forme le reportage. C’est un aspect assez technique du métier, qui peut se faire avec un monteur·euse. Il faut aussi préparer un texte pour mettre des mots sur les images.

Lorsque le reportage est prêt à être diffusé, il peut être mis en ligne sur le site internet ou programmé pour le prochain journal télévisé.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Lorsque le reportage est prêt à être diffusé, il passe dans les mains du ou de la chef·fe d’antenne, qui vérifie que tout est correct. Ce dernier joue un peu le rôle de correcteur et est responsable de tout ce qui est diffusé à l’antenne. Ensuite, le reportage est mis en ligne sur le site internet ou diffusé dans le prochain journal télévisé.

Le JRI travaille avec

Chef d'édition

Rédacteur

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mjourn2-Chef d_édition Illustrations-Club de la presse- Messak5

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Chef d’édition

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Invisible des téléspectateurs mais indispensable en coulisse, le chef ou la cheffe d’édition est un peu la tour de contrôle d’un journal télévisé.

Qui est-ce ?

Le chef d’édition est un personnage central dans les studios des chaînes de télévision. Il coordonne et supervise les émissions ou les journaux. Comme le secrétaire de rédaction, le chef d’édition est un journaliste de l’ombre qui ne part jamais en reportage.

Quel est son rôle ?

Ce journaliste a plusieurs missions tout au long de sa journée. D’abord, avec le rédacteur en chef et le présentateur, il choisit les sujets d’actualité qui seront abordés, décide leur ordre de passage et la durée des reportages. C’est ce qu’on appelle faire la hiérarchisation de l’information.

Il doit aussi vérifier la qualité des images qui vont être diffusées, surveiller l’actualité de dernière minute et modifier, s’il le faut, le journal.

Ensuite, en coulisse, il devient un maillon essentiel entre la rédaction et les techniciens. Il fait le lien entre tous ces professionnels et dirige cette grande équipe. Il doit s’assurer que les images partent au bon moment. Casque sur les oreilles, et face à une dizaine de petits écrans où défilent les images, il veille au bon déroulement du journal. Il peut même parler au présentateur qui reçoit ses messages grâce à l’oreillette.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le chef d’édition travaille en équipe, aussi bien avec les journalistes reporter d’images (JRI), que le rédacteur en chef ou les techniciens. Il travaille généralement en direct et sous pression, car c’est à lui de vérifier que la durée du journal est bien respectée. S’il y a un problème technique à l’antenne, il doit réagir très vite et prendre des décisions. Et même s’il ne part pas sur le terrain pour faire des reportages, il connait parfaitement le fonctionnement d’une caméra ou d’une table de montage !

Chef·fe d’édition

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Invisible des téléspectateurs mais indispensable en coulisse, le chef ou la cheffe d’édition est un peu la tour de contrôle d’un journal télévisé.

Qui est-ce ?

Le ou la chef·fe d’édition est un personnage central dans les studios des chaînes de télévision, qui coordonne et supervise les émissions ou les journaux. Comme le ou la secrétaire de rédaction, le ou la chef·fe d’édition est un·e journaliste de l’ombre qui ne part jamais en reportage.

Quel est son rôle ?

Ce ou cette journaliste a plusieurs missions tout au long de sa journée. D’abord, avec le ou la rédacteur·rice en chef et le ou la présentateur·rice, son rôle est de choisir les sujets d’actualité qui seront abordés, de décider leur ordre de passage et la durée des reportages. C’est ce qu’on appelle faire la hiérarchisation de l’information.

Il faut aussi vérifier la qualité des images qui vont être diffusées, surveiller l’actualité de dernière minute et modifier, s’il le faut, le journal.

Ensuite, en coulisse, il ou elle devient un maillon essentiel entre la rédaction et les technicien·ne·s pour faire le lien et diriger tous les membres de l’équipe de cette grande équipe. Il ou elle doit s’assurer que les images partent au bon moment. Casque sur les oreilles, et face à une dizaine de petits écrans où défilent les images, il ou elle veille au bon déroulement du journal. Le chef ou la cheffe d’édition peut même parler directement au présentateur ou à la présentatrice qui reçoit ses messages grâce à l’oreillette.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le ou la chef·fe d’édition travaille en équipe, aussi bien avec les journalistes reporter d’images (JRI), que le rédacteur·rice en chef ou les technicien·ne·s. Il ou elle travaille généralement en direct et sous pression, car son rôle est de vérifier que la durée du journal est bien respectée. S’il y a un problème technique à l’antenne, il faut réagir très vite et prendre des décisions. Et même s’il ou si elle ne part pas sur le terrain pour faire des reportages, il ou elle connait parfaitement le fonctionnement d’une caméra ou d’une table de montage !

Le Chef d’édition travaille avec

Rédacteur en chef

Journaliste reporter
d'images (JRI)

Rédacteur

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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mjourn1-Agencier Illustrations-Club de la presse- Messak9

Illustration : © Messak

Type d'écriture

Journaliste d’agence

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Il ou elle écrit des articles… pour les autres journalistes !

Qui est-ce ?

Comme tous ses confrères, le journaliste qui travaille en agence (et qu’on appelle aussi agencier) recherche des informations et suit l’actualité, mais lui travaille pour les autres journalistes ! Et oui, la particularité d’une agence de presse, c’est qu’elle s’adresse aux médias et non au grand public.

Quel est son rôle ?

Plus que tous les autres journalistes, sa mission est de rapporter le plus rapidement possible, souvent de manière très claire et courte, un événement qui peut se passer en France ou partout ailleurs dans le monde.

En France, c’est l’AFP (Agence France Presse) qui est l’agence la plus connue. Tout au long de la journée, elle est capable de donner très vite de multiples informations qui ont lieu loin d’ici. Il existe deux autres agences très connues dans le monde : Reuters et Associated Press (AP).

Pour pouvoir obtenir et utiliser les informations de l’AFP, les autres médias doivent payer un abonnement. À partir de leur ordinateur, ils ont alors accès aux articles écrits par les agenciers. Dans les journaux ou site internet, s’il est précisé au début ou à la fin de l’article : « Avec AFP », cela signifie que le média s’est basé sur un texte d’une agence pour transmettre cette information aux lecteurs, mais cette mention n’est pas obligatoire.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Il passe beaucoup de temps à vérifier les informations qu’il reçoit, le plus souvent en passant des coups de téléphone. Des « reporters d’agence » se rendent sur le terrain. Autre particularité pour le journaliste d’agence : Il doit souvent respecter un nombre très limité de mots : une centaine!

Journaliste d’agence

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Il ou elle écrit des articles… pour les autres journalistes !

Qui est-ce ?

Comme tous ses confrères, le ou la journaliste qui travaille en agence (et qu’on appelle aussi agencier ou agencière) recherche des informations et suit l’actualité, mais pour les autres journalistes ! Et oui, la particularité d’une agence de presse, c’est qu’elle s’adresse aux médias et non au grand public.

Quel est son rôle ?

Plus que tous les autres journalistes, sa mission est de rapporter le plus rapidement possible, souvent de manière très claire et courte, un événement qui peut se passer en France ou partout ailleurs dans le monde.

En France, c’est l’AFP (Agence France Presse) qui est l’agence la plus connue. Tout au long de la journée, elle est capable de donner très vite de multiples informations qui ont lieu loin d’ici. Il existe deux autres agences très connues dans le monde : Reuters et Associated Press (AP).

Pour pouvoir obtenir et utiliser les informations de l’AFP, les autres médias doivent payer un abonnement. À partir de leur ordinateur, ils ont alors accès aux articles écrits par les agencier·ière·s. Dans les journaux ou site internet, s’il est précisé au début ou à la fin de l’article : « Avec AFP », cela signifie que le média s’est basé sur un texte d’une agence pour transmettre cette information aux lecteurs, mais cette mention n’est pas obligatoire.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Il ou elle passe beaucoup de temps à vérifier les informations, le plus souvent en passant des coups de téléphone. Des reporters ou reportrices d’agence se rendent sur le terrain. Autre particularité de cette fonction : se soumettre à un nombre très limité de mots : une centaine!

Le Journaliste d’agence travaille avec

Rédacteur

Photographe
Photojournaliste

Correspondant à l'étranger

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CRÉDITS KIT PÉDAGOGIQUE DU CLUB DE LA PRESSE 30
Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

Type d'écriture

Commercial

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Même s’il ou elle n’est pas journaliste, il ou elle est indispensable à la vie de tous les médias.

Qui est-ce ?

Voilà une personne qui ne court pas après l’information, mais qui est pourtant incontournable dans tous les médias : le commercial vend de la publicité qui apparaîtra sur le journal, à la radio, à la télévision, sur le site internet. Quand son collègue journaliste cherche de l’information, lui recherche des annonceurs, autrement dit de la publicité. C’est en partie grâce à l’argent de la pub que les médias peuvent exister.

Quel est son rôle ?

Permettre à une marque de faire sa publicité sur le site internet ou sur une page entière d’un journal, faire passer à la radio ou à la télévision une annonce pour un événement… La mission du commercial est différente en fonction du média pour lequel il travaille mais l’objectif est toujours le même : il vend des espaces publicitaires pour permettre au média de gagner de l’argent.

Si le commercial travaille pour un site internet qui s’adresse à des collégiens, il ne vendra pas les mêmes publicités que s’il collabore pour un journal spécialisé dans l’environnement. Les magasins ou grandes marques comme tous ceux qui souhaitent faire la promotion d’un produit doivent payer pour apparaître dans les médias. Pour cela, ils s’adressent au commercial qui détermine un prix. Une publicité ou une annonce ne doit pas être confondue avec un article ou un reportage. Pour les différencier, les médias utilisent différentes techniques : ils changent la présentation, la couleur ou mettent de la musique pour bien séparer l’information de la publicité..

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le commercial n’est pas un journaliste et ne possède pas de carte de presse. Il n’est pas censé intervenir dans les choix de la rédaction, cependant, il peut être amené à travailler avec le rédacteur en chef. Il doit connaître le fonctionnement de la rédaction et se tenir informé de l’actualité.
Il peut aussi organiser avec le rédacteur en chef des opérations commerciales pour permettre au média de mieux se faire connaître auprès du grand public, et d’augmenter le nombre de personnes qui le suivent.

Commercial·e

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Même s’il ou elle n’est pas journaliste, cette personne est indispensable à la vie de tous les médias.

Qui est-ce ?

Voilà une personne qui ne court pas après l’information, mais qui est pourtant incontournable dans tous les médias : le ou la commercial·e vend de la publicité qui apparaîtra sur le journal, à la radio, à la télévision, sur le site internet. Quand son collègue journaliste cherche de l’information, il ou elle recherche des annonceurs, autrement dit de la publicité. C’est en partie grâce à l’argent de la pub que les médias peuvent exister.

Quel est son rôle ?

Permettre à une marque de faire sa publicité sur le site internet ou sur une page entière d’un journal, faire passer à la radio ou à la télévision une annonce pour un événement… Sa mission est différente en fonction du média pour lequel le ou la commercial·e travaille mais l’objectif est toujours le même : vendre des espaces publicitaires pour permettre au média de gagner de l’argent.

Si le ou la commercial·e travaille pour un site internet qui s’adresse à des collégiens ou pour un journal spécialisé dans l’environnement, ce ne sont pas les mêmes publicités qui seront vendues. Les magasins ou grandes marques comme tous ceux et toutes celles qui souhaitent faire la promotion d’un produit doivent payer pour apparaître dans les médias. Pour cela, ils ou elles s’adressent au service commercial qui détermine un prix. Une publicité ou une annonce ne doit pas être confondue avec un article ou un reportage. Pour les différencier, les médias utilisent différentes techniques : ils changent la présentation, la couleur ou mettent de la musique pour bien séparer l’information de la publicité.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le ou la commercial·e n’est pas un journaliste et ne possède pas de carte de presse. Il ou elle n’est pas censé·e intervenir dans les choix de la rédaction, cependant, il ou elle peut être amené·e à travailler avec le ou la rédacteur·rice en chef. Il est donc important de connaître le fonctionnement de la rédaction et de se tenir informé·e de l’actualité.

Son service peut aussi organiser avec la rédaction en chef des opérations commerciales pour permettre au média de mieux se faire connaître auprès du grand public, et d’augmenter le nombre de personnes qui le suivent.

Lexique :
Les annonceurs : Ce mot désigne les personnes, les entreprises, les collectivités et tous ceux qui payent pour avoir une annonce ou une publicité dans un média.
Faire la promotion : cela consiste à donner une bonne raison au consommateur d’acheter un produit.

Le Commercial travaille avec

Rédacteur en chef

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mjourn4-Correspondant à l_étranger Illustrations-Club de la presse- Messak2

Type d'écriture

Correspondant à l’étranger

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Il ou elle écrit des articles… pour les autres journalistes !

Qui est-ce ?

Le correspondant à l’étranger est un journaliste qui habite dans un autre pays toute l’année pour rendre compte, en France, de ce qu’il se passe là-bas. Des médias choisissent d’avoir un correspondant à l’étranger dans les grandes nations comme les États-Unis, la Chine, la Russie, où dans des pays proches de la France comme l’Angleterre, l’Italie. Il y a aussi des correspondants à l’étranger installés dans des régions où il existe des tensions et des guerres : le Moyen-Orient, l’Asie du Sud Est, l’Afrique subsaharienne…
Souvent, les correspondants à l’étranger sont des journalistes qui ont débuté leur métier en France.

Quel est son rôle ?

Le correspondant à l’étranger doit rester à l’affût des événements et envoyer des informations à sa rédactionC’est l’équipe de journalistes qui travaillent pour un média. Cela évoque aussi le lieu de travail et les bureaux des journalistes.. Pour cela, il doit lire la presse locale et suivre les médias, recueillir et approfondir les informations qu’il obtient. Il peut s’aider d’un traducteur s’il ne maîtrise pas la langue du pays. Comme il vit et habite sur place, le correspondant à l’étranger connait très bien son environnement. Il a souvent des meilleurs contactsPour vérifier des informations et réaliser un reportage, le ou la journaliste interroge des personnes de confiance. On les appelle ses « contacts ». et des sourcesCe sont des personnes qui donnent des informations aux journalistes. plus fiables qu’un envoyé spécial qui viendrait faire un reportage en quelques jours.

Il peut rédiger des articles pour la presse écrite ou travailler pour une radio, une chaîne de télévision ou un site internet. Dans ces cas-là, il prépare des reportages ou intervient en direct lorsqu’il se passe une actualité très importante.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le correspondant à l’étranger travaille loin de sa rédaction. Il est souvent seul et son bureau est généralement installé dans sa maison ! Il doit réagir dès qu’il pense qu’une information doit être donnée à son média. Il doit aussi avoir des idées et les proposer à son rédacteur en chef. Il fait souvent beaucoup de terrain et est amené à se déplacer dans le pays.

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Loin de sa rédaction et de ses collègues, il ou elle vit à l’étranger pour couvrir l’actualité d’un pays.

Qui est-ce ?

Le ou la correspondant·e à l’étranger est un·e journaliste qui habite dans un autre pays toute l’année pour rendre compte, en France, de ce qu’il se passe là-bas. Des médias choisissent d’avoir un·e journaliste à l’étranger dans les grandes nations comme les États-Unis, la Chine, la Russie, où dans des pays proches de la France comme l’Angleterre, l’Italie. Il y a aussi des correspondant·e·s à l’étranger installé·e·s dans des régions où il existe des tensions et des guerres : le Moyen-Orient, l’Asie du Sud Est, l’Afrique subsaharienne…
Souvent, les correspondant·e·s à l’étranger sont des journalistes qui ont débuté leur métier en France.

Quel est son rôle ?

Le ou la correspondant·e à l’étranger doit rester à l’affût des événements et envoyer des informations à sa rédactionC’est l’équipe de journalistes qui travaillent pour un média. Cela évoque aussi le lieu de travail et les bureaux des journalistes.. Pour cela, il ou elle doit lire la presse locale et suivre les médias, recueillir et approfondir les informations obtenues. Il ou elle peut s’aider d’un traducteur s’il ou si elle ne maîtrise pas la langue du pays. Comme il ou elle vit et habite sur place, le ou la correspondant·e à l’étranger connait très bien son environnement et a souvent des meilleurs contactsPour vérifier des informations et réaliser un reportage, le ou la journaliste interroge des personnes de confiance. On les appelle ses « contacts ». et des sourcesCe sont des personnes qui donnent des informations aux journalistes. plus fiables qu’un·e envoyé·e spécial·e qui viendrait faire un reportage en quelques jours.

Il ou elle peut rédiger des articles pour la presse écrite ou travailler pour une radio, une chaîne de télévision ou un site internet. Dans ces cas-là, il ou elle prépare des reportages ou intervient en direct lorsqu’il se passe une actualité très importante.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le ou la correspondant·e à l’étranger travaille loin de sa rédaction. Il ou elle est souvent seul·e et son bureau est généralement installé dans sa maison ! Il faut pouvoir réagir dès qu’une information doit être donnée à son média. Il ou elle doit aussi avoir des idées et les proposer à son ou sa rédacteur·rice en chef. Et est amené·e à se déplacer dans le pays.

Le Correspondant à l’étranger travaille avec

Rédacteur en chef

Photographe
Photojournaliste

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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Type d'écriture

Dessinateur-caricaturiste

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Sa force ? Son coup de griffe qui lui permet de poser un regard souvent décalé sur l’actualité !

Qui est-ce ?

Il est à la fois artiste et journaliste, drôle et percutant : ces différentes casquettes lui permettent de croquer l’actualité, en dessinant des personnalités comme des événements, le plus souvent avec humour. Le dessinateur de presse comme le caricaturiste sont associés à la vie de la rédactionC’est l’équipe de journalistes qui travaillent pour un média. Il s’agit aussi du lieu et des bureaux où travaillent les journalistes.. Même s’ils font rarement de reportages, ce sont de vrais journalistes.

Quel est son rôle ?

Le dessinateur de presse rebondit sur un ou plusieurs événements traités dans les médias. Parfois, le dessin remplace la photo dans un article, ou le croquis illustre un compte rendu d’audience au tribunal, là où la prise de photos est interdite). Le dessinateur de presse peut se permettre d’être plus léger et même drôle à propos d’un fait d’actualité. Son objectif est souvent de faire sourire et rire.

Le caricaturiste n’est pas présent dans toutes les salles de rédaction. Ce sont surtout les journaux satiriquesC’est un journal qui parle de l’actualité avec humour, ironie, de façon moqueuse et critique. qui font appel à lui. Son rôle est très particulier : son dessin se moque clairement d’une situation ou d’une personne. Il peut exagérer les formes d’un personnage par exemple. Le but est d’abord de faire rire, mais aussi de faire réfléchir, et de susciter un débat, de dénoncer des contradictions. Il peut se moquer des personnes qui ont du pouvoir, des stars, des sportifs, des religions mais aussi de ce qu’il se passe dans la société, tous les jours. En France et dans les démocraties, c’est grâce à la liberté de la presseC’est le droit pour les journalistes de publier toutes les informations qu’ils souhaitent, dans le respect de certaines règles (déontologie) afin de permettre aux citoyens de se forger leur propre opinion. Ils peuvent ainsi dénoncer des scandales ou des situations graves. La liberté de la presse est un des piliers d’une démocratie et n’existe pas dans tous les pays. Dans les régimes autoritaires par exemple, où les responsables politiques ne sont pas élus par les citoyens, il est difficile et même dangereux d’exercer le métier de journaliste. et d’expressionC’est le droit pour toute personne d’exprimer ses idées et ses opinions dans le respect des autres. que les caricaturistes peuvent diffuser leurs dessins dans des journaux.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Comme ses dessins vont faire réagir, le dessinateur de presse et le caricaturiste sont au contact du rédacteur en chef. C’est avec lui qu’il choisit le sujet qu’il va traiter et lui proposer plusieurs dessins. Le rédacteur en chef décide ou non de les diffuser. Le 7 janvier 2015, en France, douze personnes dont cinq dessinateurs ont été tuées après avoir publié des caricatures du prophète Mahomet, chef religieux de l’Islam. Ils travaillaient pour le journal Charlie Hebdo.

Dessinateur·rice – caricaturiste

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Sa force ? Son coup de griffe qui lui permet de poser un regard souvent décalé sur l’actualité !

Qui est-ce ?

À la fois artiste et journaliste, drôle et percutant·e : les différentes casquettes des dessinateur·rice et caricaturiste leur permettent de croquer l’actualité, en dessinant des personnalités comme des événements, le plus souvent avec humour. Le ou la dessinateur·rice de presse comme le ou la caricaturiste sont associé·e·s à la vie de la rédactionC’est l’équipe de journalistes qui travaillent pour un média. Il s’agit aussi du lieu et des bureaux où travaillent les journalistes.. Même s’ils ou si elles font rarement de reportages, ce sont de vrais journalistes.

Quel est son rôle ?

Le ou la dessinateur·rice de presse rebondit sur un ou plusieurs événements traités dans les médias. Parfois, le dessin remplace la photo dans un article, ou le croquis illustre un compte rendu d’audience au tribunal, là où la prise de photos est interdite. Le ou la dessinateur·rice de presse peut se permettre d’être plus léger et même drôle à propos d’un fait d’actualité. Son objectif est souvent de faire sourire et rire.

Le ou la caricaturiste n’est pas présent·e dans toutes les salles de rédaction. Ce sont surtout les journaux satiriquesC’est un journal qui parle de l’actualité avec humour, ironie, de façon moqueuse et critique. qui font appel à lui. Son rôle est très particulier : son dessin se moque clairement d’une situation ou d’une personne. Il ou elle peut exagérer les formes d’un personnage par exemple. Le but est d’abord de faire rire, mais aussi de faire réfléchir, et de susciter un débat, de dénoncer des contradictions. Il ou elle peut se moquer des personnes qui ont du pouvoir, des stars, des sportifs, des religions mais aussi de ce qu’il se passe dans la société, tous les jours. En France et dans les démocraties, c’est grâce à la liberté de la presseC’est le droit pour les journalistes de publier toutes les informations qu’ils souhaitent, dans le respect de certaines règles (déontologie) afin de permettre aux citoyens de se forger leur propre opinion. Ils peuvent ainsi dénoncer des scandales ou des situations graves. La liberté de la presse est un des piliers d’une démocratie et n’existe pas dans tous les pays. Dans les régimes autoritaires par exemple, où les responsables politiques ne sont pas élus par les citoyens, il est difficile et même dangereux d’exercer le métier de journaliste. et d’expressionC’est le droit pour toute personne d’exprimer ses idées et ses opinions dans le respect des autres. que les caricaturistes peuvent diffuser leurs dessins dans des journaux.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Comme ses dessins vont faire réagir, le ou la dessinateur·rice de presse et le caricaturiste sont au contact du ou de la rédacteur.rice en chef. C’est avec lui ou elle qu’est choisi le sujet qui sera traité. Le ou la rédacteur·rice en chef décide ou non de diffuser les dessins.

Le 7 janvier 2015, en France, douze personnes dont cinq dessinateurs ont été tuées après avoir publié des caricatures du prophète Mahomet, chef religieux de l’Islam. Ils travaillaient pour le journal Charlie Hebdo.

Le Dessinateur-caricaturiste travaille avec

Rédacteur en chef

Rédacteur

Secrétaire de
rédaction

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mjourn6-Grand reporter Illustrations-Club de la presse- Messak

Type d'écriture

Grand reporter et envoyé spécial

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Le premier est un baroudeur ;
Le second est capable de partir en reportage en quelques minutes.

Qui est-ce ?

Le grand reporter est un journaliste de terrain qui réalise souvent des « grands reportages » : le format ou la durée de ses reportages est plus long. Il voyage beaucoup pour enquêter et peut passer plusieurs semaines en reportage pour relater des actualités dont on entend rarement parler.

L’envoyé spécial aussi voyage beaucoup. C’est un journaliste qui se déplace spécialement pour suivre un événement rare et/ou exceptionnel. Il peut rester sur place une certaine durée. Quand son reportage ou l’article paraît, il est souvent indiqué la mention « envoyé spécial ».

Quel est son rôle ?

Le grand reporter : Avec son rédacteur en chef, il choisit de se consacrer à un sujet en particulier et mène un travail de terrain très approfondi. Il recueille des informations, observe les témoins, doit croiser ses sources mais aussi décrire une situation, une ambiance… C’est ce que fait par exemple le reporter de guerre.

L’envoyé spécial : Lorsqu’il se passe des catastrophes naturelles, des grandes rencontres entre chefs d’État, mais aussi des événements sportifs comme les Jeux Olympiques, ou encore pour réaliser des enquêtes sur des sujets très particuliers, le rédacteur en chef peut décider d’envoyer sur les lieux de l’événement un journaliste. Pour des grands événements prévus depuis longtemps, l’envoyé spécial peut préparer son voyage à l’avance, mais lorsqu’il s’agit d’une catastrophe, il doit se tenir prêt à faire ses bagages en quelques heures.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Lorsqu’ils arrivent sur le terrain, le grand reporter comme l’envoyé spécial ne connaissent bien souvent personne. Souvent, ils n’ont même jamais mis les pieds sur le territoire où ils vont devoir travailler pendant quelques jours ou semaines. Ils peuvent contacter les services de presse des villes, gouvernements et des ambassades, ou bien entrer en contact avec des fixeurs. Ce sont des personnes qui connaissent très bien le pays et le sujet traité, et qui acceptent de jouer le rôle de guide pour le journaliste. À l’étranger, ils peuvent aussi servir de traducteur entre le journaliste et la population. S’ils sont journalistes pour une chaîne de télévision ou une radio, le grand reporter comme l’envoyé spécial travaillent avec une équipes de techniciens (journaliste reporter d’images ,cadreurs, monteurs).

Grand·e reporter et envoyé·e spécial·e

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Leur particularité : journaliste baroudeur·euse ou spécialiste des départs de dernière minute pour couvrir l’actualité.

Qui est-ce ?

Le ou la grand·e reporter est un·e journaliste de terrain qui réalise souvent des « grands reportages » : le format ou la durée de ses reportages est plus long. Il ou elle voyage beaucoup pour enquêter et peut passer plusieurs semaines en reportage pour relater des actualités dont on entend rarement parler.

L’envoyé·e spécial·e aussi voyage beaucoup et se déplace spécialement pour suivre un événement rare et/ou exceptionnel. Il ou elle peut rester sur place une certaine durée. Quand son reportage ou l’article paraît, il est souvent indiqué la mention « envoyé·e spécial·e ».

Quel est son rôle ?

Grand·e reporter : Avec son responsable (rédacteur·rice en chef), il ou elle choisit de se consacrer à un sujet en particulier et mène un travail de terrain très approfondi, recueille des informations, observe les témoins, doit croiser ses sources mais aussi décrire une situation, une ambiance… C’est ce que fait par exemple le ou la reporter de guerre.

Envoyé·e spécial·e : Lorsqu’il se passe des catastrophes naturelles, des grandes rencontres entre chefs d’État, mais aussi des événements sportifs comme les Jeux Olympiques, ou encore pour réaliser des enquêtes sur des sujets très particuliers, le media peut décider d’envoyer sur les lieux de l’événement un·e journaliste.

Pour des grands événements prévus depuis longtemps, l’envoyé·e spécial·e peut préparer son voyage à l’avance, mais lorsqu’il s’agit d’une catastrophe, il ou elle doit se tenir prêt·e à faire ses bagages en quelques heures.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

En arrivant sur le terrain, le ou la grand·e reporter comme l’envoyé·e spécial·e ne connaissent bien souvent personne. Souvent, ils ou elles n’ont même jamais mis les pieds sur le territoire qui va devenir leur terrain de travail pendant quelques jours ou semaines. Ils ou elles peuvent contacter les services de presse des villes, des gouvernements et des ambassades, ou bien entrer en contact avec des fixeur·e·s. Ce sont des personnes qui connaissent très bien le pays et le sujet traité, et qui acceptent de jouer le rôle de guide et parfois aussi, de traducteur·rice. S’ils ou si elles travaillent pour une chaîne de télévision ou une radio, le ou la grand·e reporter comme l’envoyé·e spécial·e collaborent avec une équipe de technicien·ne·s.

Le Grand reporter et l’envoyé spécial travaille avec

Rédacteur en chef

Photographe
Photojournaliste

Secrétaire de
rédaction

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Type d'écriture

Journaliste en ligne

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Il ou elle sait aussi bien rédiger des articles que faire des vidéos.
C’est un peu le couteau suisse du journalisme !

Qui est-ce ?

Dans la grande famille de la presse, c’est le dernier arrivé des journalistes ! Son truc à lui, ce sont les nouvelles technologies. Il utilise sa grande connaissance d’internet et des réseaux sociaux pour transmettre les informations au plus grand nombre de personnes. En quelques années, il est devenu indispensable dans toutes les salles de rédactions.

Quel est son rôle ?

Lui aussi court après l’actualité pour la transmettre sur des sites d’information en ligne comme Objectif Gard, Brut ou Konbini. Certains travaillent aussi pour les médias traditionnels (la presse écrite, les radios et les télévisions) qui ont tous un site internet. Un peu comme l’agencier, le journaliste en ligne doit souvent travailler vite et rédiger des textes courts. On dit qu’il donne une info brute.

Depuis le début des années 2000, le journalisme en ligne a complètement révolutionné le monde des médias. Son ordinateur et sa connexion internet ont remplacé le stylo, le micro ou la caméra des autres journalistes. Il n’a pas forcément besoin de rentrer au bureau pour préparer son article et peut mettre l’information en ligne depuis son lieu de reportage. Il peut même donner en temps réel une actualité, et en faire un suivi. Avec ces outils, il est plus rapide pour informer le public, mais attention, il doit quand même vérifier les faits avant de les publier.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Même s’il est capable de réaliser du début à la fin son reportage, le journaliste en ligne travaille souvent en équipe. Il peut faire relire son article au secrétaire de rédaction et dépend aussi d’un rédacteur en chef. Certains journalistes en ligne restent au bureau et sont en permanence en contact avec les rédacteurs et photographes. Ils ont alors pour mission de donner, en quelques mots, une information que lui aura transmise son collègue parti sur le terrain.

Journaliste en ligne

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Il ou elle sait aussi bien rédiger des articles que faire des vidéos.
C’est un peu le couteau suisse du journalisme !

Qui est-ce ?

Son truc, ce sont les nouvelles technologies. Il ou elle utilise sa grande connaissance d’internet et des réseaux sociaux pour transmettre les informations au plus grand nombre de personnes. En quelques années, cette fonction est devenue indispensable dans toutes les salles de rédactions.

Quel est son rôle ?

Un seul objectif : couvrir l’actualité pour la transmettre sur des sites d’information en ligne comme Objectif Gard, Brut ou Konbini. Certain·e·s travaillent aussi pour les médias traditionnels (la presse écrite, les radios et les télévisions) qui ont tous un site internet. Un peu comme l’agencier·ière, le ou la journaliste en ligne doit souvent travailler vite et rédiger des textes courts, une « info brute ».

Depuis le début des années 2000, le journalisme en ligne a complètement révolutionné le monde des médias. L’ordinateur et la connexion internet ont remplacé le stylo, le micro ou la caméra des médias dits traditionnels. Il n’est plus forcément indispensable de rentrer au bureau pour préparer son article, l’information peut être mise en ligne depuis le lieu de reportage. Avec le journalisme en ligne, il est aussi possible de donner en temps réel une actualité, et d’en faire un suivi. Mais attention, il reste quand même indispensable de vérifier les faits avant de les publier.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Même s’il ou si elle est capable de réaliser du début à la fin son reportage, le ou la journaliste en ligne travaille souvent en équipe. Il ou elle peut faire relire son article et dépend aussi d’un.e rédacteur.rice en chef. Certains journalistes en ligne restent au bureau et sont en permanence en contact avec les rédacteur·rice.s et photographes. Ils ou elles ont alors pour mission de donner, en quelques mots, une information que lui aura transmise son collègue parti sur le terrain.

Le Journaliste en ligne travaille avec

Rédacteur en chef

Secrétaire de
rédaction

Photographe
Photojournaliste

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CRÉDITS KIT PÉDAGOGIQUE DU CLUB DE LA PRESSE 30
Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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Type d'écriture

Journaliste radio

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Il ou elle ne se sépare jamais de son micro !

Qui est-ce ?

Qu’il fasse des reportages ou qu’il soit présentateur comme directeur d’antenne, dans tous les cas, c’est par sa voix que le journaliste radio diffuse l’actualité.

Quel est son rôle ?

Les missions du journaliste radio changent en fonction du poste. S’il fait des reportages, il participe à la conférence de rédaction où sont décidés les sujets d’actualité qu’il faudra suivre. Pour réaliser un reportage ou une enquête, c’est avec le micro qu’il travaille et interroge des gens, enregistre des sons qui donneront un peu de matière à son reportage. De retour à la rédaction, le journaliste radio doit sélectionner les meilleurs moments (il réalise le montage), enregistrer un texte et respecter la longueur demandée. Quand son reportage est terminé, on dit que le journaliste livre un PAD, ce qui signifie : prêt à être diffusé.

À la radio, d’autres journalistes font de la présentation. Ils ne partent pas en reportage. Leur rôle consiste à donner les informations aux auditeurs, interroger un invité en direct sur un sujet précis (une interview), ou animer des émissions. Le présentateur n’a pas le droit à l’erreur car il travaille le plus souvent en direct et doit respecter des délais très précis.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le journaliste radio travaille en équipe, et notamment avec des techniciens. Pour gérer toute cette organisation, il faut un directeur d’antenne. C’est un peu le capitaine toute cette équipe. Il est responsable de tout ce qui est diffusé sur les ondes de la radio.

Journaliste radio

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Il ou elle ne se sépare jamais de son micro !

Qui est-ce ?

Qu’il ou qu’elle fasse des reportages, qu’il ou qu’elle soit présentateur·rice comme directeur·rice d’antenne, dans tous les cas, c’est par sa voix que le ou la journaliste radio diffuse l’actualité.

Quel est son rôle ?

Ses missions changent en fonction du poste. S’il ou si elle fait des reportages, il ou elle participe à la conférence de rédaction où sont décidés les sujets d’actualité qu’il faudra suivre. Pour réaliser un reportage ou une enquête, c’est avec le micro qu’il ou qu’elle travaille et interroge des gens, enregistre des sons qui donneront un peu de matière au reportage. De retour à la rédaction, l’heures est venue de sélectionner les meilleurs moments pour réaliser le montage, enregistrer un texte et respecter la longueur demandée. Un reportage terminé est un PAD, ce qui signifie : prêt à être diffusé.

À la radio, d’autres journalistes ne partent pas en reportage et font de la présentation. Leur rôle consiste à donner les informations aux auditeurs, interroger un invité en direct sur un sujet précis (une interview) ou animer des émissions. Le ou la présentateur·rice n’a pas le droit à l’erreur car il ou elle travaille le plus souvent en direct et doit respecter des délais très précis.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le journalisme de radio est un travail d’équipe, notamment avec des technicien·ne·s. Pour gérer toute cette organisation, il faut un·e directeur·rice d’antenne. C’est un peu le capitaine toute cette équipe. Il ou elle est responsable de tout ce qui est diffusé sur les ondes de la radio.

Le Journaliste radio travaille avec

Chef d'édition

Journaliste en ligne

Journaliste d'agence

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CRÉDITS KIT PÉDAGOGIQUE DU CLUB DE LA PRESSE 30
Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

mjourn14-Rédacteur Illustrations-Club de la presse- Messak15

Type d'écriture

Journaliste Rédacteur

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Il ou elle écrit les articles pour les journaux, les sites internet ou les chaînes de télévision.

Qui est-ce ?

Dans la famille des journalistes, le rédacteur est celui qui transmet l’information par l’écrit. Il travaille pour la presse écrite, les sites internet mais aussi les chaînes de télévision. Il peut rédiger des articles pour un média qui paraît tous les jours, un quotidien, pour un journal qui sort une fois par semaine, comme les hebdomadaires ou encore pour un magazine mensuel, une fois par mois. Il peut aussi transmettre de l’info en continu sur les sites internet.

Quel est son rôle ?

Il écrit des articles avec les informations qu’il a obtenues lors de son reportage. Le plus souvent, le rédacteur débute sa journée par une conférence de rédactionC’est une réunion qui permet à toute l’équipe de journalistes de débattre et de décider des sujets d’actualité qui vont être traités.. Durant cette réunion, le rédacteur en chef dessine un chemin de fer : c’est un brouillon du futur journal, après avoir parlé avec tous les membres de son équipe.

Ensuite, le rédacteur débute le travail de terrain et part en reportage. Pour obtenir des informations, il peut mener une enquête, aller à une conférence de presseC’est un rendez-vous organisé pour présenter aux journalistes un événement qui va avoir lieu ou une personne qui fait l’actualité. Durant cette rencontre, les journalistes peuvent poser des questions., téléphoner, lire d’autres articles… De retour au bureau, attention, il ne peut pas écrire ce qu’il veut comme il l’entend. Il doit respecter la ligne éditorialeC'est le ton choisi par un media pour donner l’information. Un site internet qui s’adresse aux jeunes ne raconte pas l’actualité de la même manière qu’un journal qui vise un public de spécialistes. de son journal et son article ne doit pas dépasser un certain nombre de caractères ou mots.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Avant de rédiger son article, le rédacteur doit être certain des faits et confronter plusieurs points de vue. Pour obtenir ou vérifier des informations, il peut se renseigner auprès des professionnels de la communication : l’attaché de presse, le responsable de l’événement, la direction de la communication, ou encore un chef de projet. Mais il ne répète pas tout ce qu’on lui dit ! Comme tout journaliste, il va opposer si besoin les déclarations des uns et des autres, et garder un esprit critique au moment d’écrire l’article.

Journaliste Rédacteur·rice

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Il ou elle écrit les articles pour les journaux, les sites internet ou les chaînes de télévision.

Qui est-ce ?

Dans la famille des journalistes, il s’agit de la personne qui transmet l’information par l’écrit. Le rédacteur ou la rédactrice travaille pour la presse écrite, les sites internet mais aussi les chaînes de télévision. Il ou elle peut rédiger des articles pour un média qui paraît tous les jours, un quotidien, pour un journal qui sort une fois par semaine, comme les hebdomadaires ou encore pour un magazine mensuel, une fois par mois. Ou bien encore peut transmettre de l’info en continu sur les sites internet.

Quel est son rôle ?

Sa mission consiste à écrire des articles avec les informations obtenues lors de son reportage. Le plus souvent, le ou la rédacteur·rice débute sa journée par une conférence de rédactionC’est une réunion qui permet à toute l’équipe de journalistes de débattre et de décider des sujets d’actualité qui vont être traités.. Durant cette réunion, le ou la rédacteur·rice en chef dessine un chemin de fer : c’est un brouillon du futur journal, après avoir parlé avec tous les membres de son équipe.

Ensuite, débute le travail de terrain et le reportage. Pour obtenir des informations, il ou elle peut mener une enquête, aller à une conférence de presseC’est un rendez-vous organisé pour présenter aux journalistes un événement qui va avoir lieu ou une personne qui fait l’actualité. Durant cette rencontre, les journalistes peuvent poser des questions., téléphoner, lire d’autres articles… De retour au bureau, il ou elle doit respecter la ligne éditorialeC'est le ton choisi par un media pour donner l’information. Un site internet qui s’adresse aux jeunes ne raconte pas l’actualité de la même manière qu’un journal qui vise un public de spécialistes. de son journal et son article ne doit pas dépasser un certain nombre de caractères ou mots.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Comme tout·e journaliste, le rédacteur ou la rédactrice doit être certain des faits qui vont être donnés et doit confronter plusieurs points de vue. Des professionnel·le·s de la communication comme l’attaché·e de presse, le ou la responsable de l’événement, la direction de la communication, ou encore un·e chef·fe de projet peuvent lui apporter des renseignements ou des détails. Mais il ou elle ne répète pas tout ce qu’on lui dit ! Il faut opposer, si besoin, les déclarations des uns et des autres, et garder un esprit critique au moment d’écrire l’article.

Le Rédacteur travaille avec

Rédacteur en chef

Photographe
Photojournaliste

Secrétaire de
rédaction

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Si vous voulez prendre contact avec le Club de la presse et de la communication du Gard, n’hésitez pas à nous écrire : info.cpc30@gmail.com

mjourn15-Secretaire de rédaction Illustrations-Club de la presse- Messak8

Type d'écriture

Secrétaire de rédaction

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Il ou elle réalise un vrai travail de fourmi pour vérifier, corriger et mettre en forme les articles.

Qui est-ce ?

Lui ne part jamais en reportage et ne fait pas d’interview. Le secrétaire de rédaction est un journaliste de l’ombre ! Il travaille dans un bureau et son rôle consiste à relire les articles de ses collègues rédacteurs. L’une de ses principales missions est de repérer et de corriger les fautes d’orthographe et de grammaire, mais pas seulement.

Quel est son rôle ?

Devant son écran d’ordinateur, le ou la secrétaire de rédaction, qu’on appelle SR dans les salles de rédaction, relit l’article du rédacteur. Il ou elle doit le mettre en forme, puis le corriger pour que le journal soit imprimé dans les bons délais tout en veillant à ce que tout soit bien compréhensible.

Le ou la SR commence par vérifier que l’article n’est pas trop long. Si l’article dépasse de quelques lignes, son travail consiste à le raccourcir pour qu’il rentre dans la case prévue par le ou la rédacteur en chef, mais attention, les propos de son collègue ne doivent pas être modifiés. Il ou elle peut aussi changer le titre de l’article pour l’améliorer.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le travail du SR est souvent une course contre la montre, surtout dans les journaux qui paraissent tous les jours. Il doit valider les articles et les pages en quelques heures. Souvent, le SR débute ses journées dans l’après-midi et travaille en soirée.

Quand l’article lui semble totalement terminé, le SR le valide. Dans les salles de rédaction, il y a souvent un SR en chef. Son rôle est très important. C’est lui qui donne le bon à tirer du journal. Il s’agit de la toute dernière étape qui va permettre au journal d’être publié. À partir de ce moment-là, il n’est plus possible de changer aucun mot dans les articles. Si une erreur n’a pas été vue ou corrigée… elle se retrouvera le lendemain dans le journal ! Mais heureusement, avec internet, maintenant, les corrections peuvent se faire en ligne. Si un article porte la mention « mis à jour », cela signifie que l’article a été réactualisé ou corrigé.

Secrétaire de rédaction

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Il ou elle réalise un vrai travail de fourmi pour vérifier, corriger et mettre en forme les articles.

Qui est-ce ?

Il ou elle ne part jamais en reportage et ne fait pas d’interview. Le ou la secrétaire de rédaction est un·e journaliste de l’ombre qui travaille dans un bureau. Son rôle consiste à relire les articles de ses collègues. L’une de ses principales missions est de repérer et de corriger les fautes d’orthographe et de grammaire, mais pas seulement.

Devant son écran d’ordinateur, le ou la secrétaire de rédaction, qu’on appelle SR dans les salles de rédaction, relit l’article du rédacteur·trice. Il ou elle doit le mettre en forme, puis le corriger pour que le journal soit imprimé dans les bons délais tout en veillant à ce que tout soit bien compréhensible.

Le ou la SR commence par vérifier que l’article n’est pas trop long. Si l’article dépasse de quelques lignes, son travail consiste à le raccourcir pour qu’il rentre dans la case prévue par le ou la rédacteur·trice en chef, mais attention, les propos de son collègue ne doivent pas être modifiés. Il ou elle peut aussi changer le titre de l’article pour l’améliorer.

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Le travail du SR est souvent une course contre la montre, surtout pour les journaux qui paraissent tous les jours. Les articles et les pages doivent être validés en quelques heures. Souvent, le ou la SR débute ses journées dans l’après-midi et travaille en soirée.

Quand l’article lui semble totalement terminé, le ou la SR le valide. Dans les salles de rédaction, il y a souvent un·e secrétaire de rédaction en chef. Son rôle est très important. C’est lui ou elle qui donne le bon à tirer du journal. Il s’agit de la toute dernière étape qui va permettre au journal d’être publié. À partir de ce moment-là, il n’est plus possible de changer aucun mot dans les articles. Si une erreur n’a pas été vue ou corrigée… elle se retrouvera le lendemain dans le journal ! Mais heureusement, avec internet, maintenant, les corrections peuvent se faire en ligne. Si un article porte la mention « mis à jour », cela signifie que l’article a été réactualisé ou corrigé.

Le Secrétaire de rédaction travaille avec

Rédacteur

Photographe
Photojournaliste

Chef d'édition

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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Chargé de relations publiques Illustrations-Club de la presse- Messak12

Type d'écriture

Chargé(e) de relations publiques

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Diplomate veillant à l’effet de la communication sur l’opinion publique
Ambassadeur d’une marque, il ou elle veille à l’image et à la réputation d’une entreprise et peut aussi en être le ou la porte-parole.

Qui est-ce ?

Dans une entreprise privée ou publique, c’est la personne qui veille à l’image et à la réputation de l’entreprise. Il gère donc la communication auprès des journalistes, des partenaires de l’entreprises, des institutions entre autres. Sa mission, c’est d’aider à ce que tout le monde ait une bonne opinion et une bonne image de cette entreprise !

Quel est son rôle ?

En fonction d’une situation, bonne ou mauvaise pour l’entreprise, il s’adresse aux médias pour améliorer la façon dont est perçue l’entreprise par le public. Il se soucie de l’opinion publique à ce sujet (ce que tout le monde semble penser ; l’avis le plus partagé par les consommateurs, les utilisateurs). Il ne faut pas confondre avec celui d’un attaché de presse. Ce n’est pas non plus un community-manager ni un « influenceur » !

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Quelle que soit l’entreprise ou l’agence qui l’emploie, le responsable des relations publiques (appelé parfois RP) s’entend avec le responsable de la communication sur la stratégie qui sera réalisée par l’entreprise ou confiée à l’agence dont tous les métiers sont utiles. Les compétences et le réseau d’un(e) attaché(e) de presse lui sont également indispensable pour véhiculer via les médias les bons «éléments de langage» au bon moment.

Test lien

Chargé·e de relations publiques

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Diplomate veillant à l’effet de la communication sur l’opinion publique
Ambassadeur·rice d’une marque, il ou elle veille à l’image et à la réputation d’une entreprise et peut aussi en être le ou la porte-parole.

Qui est-ce ?

Dans une entreprise privée ou publique, c’est la personne qui veille à l’image et à la réputation de l’entreprise. Elle ou il gère donc la communication auprès des journalistes, des partenaires de l’entreprises, des institutions entre autres. Sa mission, c’est d’aider à ce que tout le monde ait une bonne opinion et une bonne image de cette entreprise !

Quel est son rôle ?

En fonction d’une situation, bonne ou mauvaise pour l’entreprise, il ou elle s’adresse aux médias pour améliorer la façon dont est perçue l’entreprise par le public. Il ou elle se soucie de l’opinion publique à ce sujet (ce que tout le monde semble penser ; l’avis le plus partagé par les consommateurs, les utilisateurs). Il ne faut pas confondre son rôle avec celui d’un·e attaché·e de presse. Ce n’est pas non plus un·e community-manager ni un·e « influenceur·euse » !

Comment et avec qui travaille-t-il ?

Quelle que soit l’entreprise ou l’agence qui l’emploie, le ou la responsable des relations publiques (appelé parfois RP) s’entend avec le ou la responsable de la communication sur la stratégie qui sera réalisée par l’entreprise ou confiée à l’agence dont tous les métiers sont utiles. Les compétences et le réseau d’un·e attaché·e de presse lui sont également indispensables pour véhiculer via les médias les bons «éléments de langage» au bon moment.

Le Chargé de relations publiques travaille avec

Attaché de presse

Responsable communication

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Coordination : Céline Rousseau en collaboration avec les membres du Conseil d’Administration du Club de la Presse et de la communication du Gard / Rédactrice des métiers de la presse : Agathe Baudouin / Rédacteur des métiers de la communication : Frédéric Dupont / Illustrateur : Messak / Infographiste - design du kit : Lydia Braza / Webdesign & développement : Agarta.co

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ÉDITO

Correspondant·e à l’étranger